Vevey (VD): Mère tyrannique traînée en justice par ses enfants
Par Christian Humbert, 29 novembre 2016
Une femme frappait son mari et leurs rejetons. Elle a été punie au tribunal, en présence de ses fils adolescents.
Mari battu, enfants tabassés: une quadragénaire marocaine a fait régner la terreur dans son foyer durant des années, sur la Riviera vaudoise. «Petit pédé handicapé», a-t-elle notamment lancé un jour à l’un de ses fils en lui crachant dessus, avant de le gifler et de lui casser son appareil dentaire au passage. Son autre garçon a aussi eu droit à des jets d’objets divers et à des coups de ceinture, de câble ou de sandale au milieu des cris et des insultes. L’époux, un Suisse de vingt ans son aîné, n’a pas échappé aux violences de cette femme corpulente. «Sale porc de juif», lui a-t-elle balancé en le brûlant avec une cigarette.
Fils indemnisés
La mère indigne a été condamnée à une amende de 300 fr. avec sursis pour lésions corporelles simples qualifiées, et à une amende de 200 fr. pour injures. Elle devra verser quelque 500 fr. à chacun de ses enfants au titre de tort moral et payer 80% des 22400 fr. de frais, notamment l'avocate de ses fils. Elle n'a pas eu un mot d'excuses de toute la journée. Les garçons ont malgré tout embrassé leur mère à l'issue de l'audience, après lecture du verdict.
Les enfants se sont présentés eux-mêmes à la police en 2015 au terme d’un long conflit familial. Tout ce petit monde s’est retrouvé hier au Tribunal de Vevey. Fait rare, les deux ados étaient sur le banc des plaignants, face à leur mère. Ils tenaient à être présents pour contrer ses dénégations permanentes et ses accusations contre leur papa. Ils ont paru sincères. «Nous étions battus régulièrement. Cela faisait très mal. Nous n’avons pas parlé par honte», ont-ils expliqué d’une seule voix. Leur père avait la même attitude soumise: «Je ne réagissais pas pour éviter qu’elle ne m’accuse et prenne mes enfants. Je m’en veux.» L’accusée a tout nié et a répété qu’elle aimait les siens. Le tribunal ne l’a pas crue (lire ci-dessus). Une procédure de divorce est en cours.
Source : 20min.ch
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Cenator :
La Suisse, victime de l’invasion musulmane, subit aussi beaucoup de préjudices du fait des mariages mixtes (Suisse ou Suissesses avec une personne issue d’une civilisation incompatible avec la nôtre).
De tels mariages mixtes avec des personnes issues du Maroc se terminent très souvent en catastrophe. Du côté Maroc, vous trouvez une jeune personne à la recherche d’un mariage avec un(e) Européen(ne), et du côté Suisse, très souvent une personne qui a raté sa vie sentimentale, ou est âgée, malade, obèse, timide, ou moche… ou idéologiquement ‘bisounours’.
Les Marocaines, lorsqu’elles se marient, veulent généralement avoir des enfants pour des raisons culturelles, même si leur mari leur répugne totalement.
Ces mariages généreront des situations similaires à celle ci-dessus, situations suivies d’un divorce aux conséquences largement à la charge des contribuables.
Dans le cas présent, les suites probables sont les suivantes.
Question : Qui va payer Frs 23'100 fr. d’indemnités aux enfants?
Réponse : Très probablement la LAVI (Aide aux victimes d'infractions)… c'est-à-dire les contribuables !!!
Question : Qui va payer leur divorce, si par exemple, ils divorcent ? Quelle est/sera la participation des contribuables à l’entretien de cette famille ?
Là-dessus, les instituts de sondage sont muets. Et si quelqu’un voulait faire une étude à ce sujet, non seulement il n’obtiendrait aucune subvention… mais il serait probablement traîné en justice !
Effectrivement, qui ne connaît pas un mariage multiculturel qui a mal tourné, spécifiquement avec des Africains?
Mais je pense que l’un des autre responsables de cette situation est aussi le féminisme:
Non seulement le féminisme accuse l’Occidental de toutes les tares de l’humanité et le fragilise (jusqu’à le féminiser comme on l ‘a vu avec Belkacem), mais encore cela pousse nos femmes à préférer les Africains ou les musulmans, ce qui est contradictoire puisque ces derniers sont bien plus machistes et violents (la première structure pour femmes battues a été mise sur pied en Seine-Saint-Denis).
L’Occidental aura donc un réflexe semblable, chercher sa femme sous d’autres horizons puisqu’il n’intéresse plus ses compatriotes féminines.