Elections cantonales valaisannes 5 et 19 mars 2017. Petit rappel historique concernant Stéphane Rossini, candidat au gouvernement valaisan (et partisan du Berufsverbot!).

Uli Windisch
Rédacteur en chef

15.3.2017. Rediffusion actualisée. Quand les socialistes s’accusent eux-mêmes de prise d’otages, de mensonges, de déni de légitimité, d’incompétence et de manque de démocratie…
NDLR. Un gouvernement de gauche même en Valais après les élections cantonales de 2017?
Les socialistes valaisans putschistes et adeptes de Berufsverbot ( en l’occurrence Stéphane Rossini ) semblent prêts à tout pour arriver au gouvernement, quitte à éliminer d’une manière ou d’une autre leur collègue socialiste, Esther Waeber Kalbermatten, actuelle membre du gouvernement et désireuse de se représenter. Le candidat PDC déclaré Cristophe Darbellay, bien que co-auteur avec les socialistes notamment du putsch qui a éliminé Christoh Blocher du Conseil fédéral, avec sa haine de l’UDC, sa réputation de girouette, et père récemment d’un enfant hors mariage, bien que grand défenseur de la famille, enfant annoncé aux médias comme « grave erreur » (qu’en pensera cet enfant une fois susceptible de comprendre?), sera sans doute et malgré tout quand même élu au gouvernement valaisan en 2017. Il suffirait donc que le futur membre du parti majoritaire du Haut-Valais soit teinté à gauche, ce qui ne semble pas exclu, pour que la majorité puisse passer à gauche, même ponctuellement et sur certains thèmes. Cette nouvelle majorité pourrait, en plus, et contre les règles établies, vouloir ravir le Département de l’instruction et de la sécurité à l’UDC Oskar Freysinger.
Pour éviter un tel bouleversement idéologique du gouvernement valaisan, il faut espérer qu’en cas de nécessité, l’UDC valaisanne présentera deux candidats à ces élections au gouvernement. Car un tel changement entraînerait des conséquences en matière d’ « avancées » sociétales dont la très grande majorité des Valaisans ne veulent certainement pas.

 

Quand les socialistes s’accusent eux-mêmes de prise d’otages, de mensonges, de déni de légitimité, d’incompétence et de manque de démocratie…

Ces accusation proviennent de Stéphane Rossini, socialiste valaisan, ex-Conseiller national et même premier citoyen du pays comme récent président de ce même Conseil national, Chambre basse du Parlement fédéral suisse.

Pourquoi ces accusations? Sans doute par  ce que de retour au pays natal, le Valais, il n’a pas été retenu comme candidat au Gouvernement valaisan pour les élections de l’automne 2016.

Il est piquant de relever ces graves accusations contre l’actuelle membre socialiste du Gouvernement valaisan qui est donc la première femme élue à ce gouvernement dans l’histoire politique valaisanne.

A ce propos, on peut se souvenir qu’en tant que grand démocrate et adepte de la liberté d’expression, il avait aussi demandé que des sanctions (voire l’exclusion) contre  moi-même (Uli Windisch) comme professeur  de l’Université de Genève soient prises par l’Université et le Gouvernement genevois, cela parce que j'avais critiqué les socialistes et montré  à quoi pouvait parfois mener le socialisme  dans l’histoire.

La manœuvre, appuyée  même par le président du parti socialiste suisse, avait lamentablement échoué et l’Université qui avait créé une Commission ad hoc pour analyser mon écrit n’en était pas nécessairement ressortie grandie, étant donné que pour une fois j'avais obtenu un large soutien médiatique et politique (voir à ce sujet mon livre consacré à cette période très pénible et angoissante et qui a duré des mois : L’Affaire UW, Un révélateur politique et médiatique, Ed L’Age d’^Homme, 2010, 260 p.).

Je rappelais aussi dans l’ouvrage susmentionné que lorsque le même  Stéphane Rossini avait été proposé pour une charge de cours en politique sociale dans la Faculté  même où j’enseignais je ne m’étais pas opposé à sa nomination.

Je continuerai constamment de rappeler ces façons d’agir de certains socialistes qui se veulent toujours exemplaire mais capables des pires pratiques politiques et autres formes de Berufsverbot.

I. Le communiqué de Stéphane Rossini, 23 juin 2016 :

"Stéphane Rossini CP320, 1997 Haute-Nendaz / Tél. 079-628’88’17 / www.stephanerossini.ch / [email protected] Le 23 juin 2016 Communiqué de presse

Election au Conseil d’Etat VS 2017

Le putsch du SPO est un affront pour le Valais romand Conformément à toutes mes déclarations relatives à l’élection au Conseil d’Etat valaisan de mars 2017, puisque la Conseillère d’Etat Esther Waeber-Kalbermatten se représente pour une troisième législature, malgré qu’elle sera rentière AVS dès le 24 septembre prochain (ce qui n’est pas sans signification politique pour une élue PS !), je suis contraint, dans le contexte actuel et à moins d’éléments nouveaux, de renoncer à une candidature.

Ces derniers mois, j’ai reçu de très nombreux appels à faire acte de candidature de la part de citoyen.ne.s valaisan.ne.s de tous bords, insatisfaits de la faiblesse de l’actuel Gouvernement et désireux de changement. Néanmoins, les conditions politiques adéquates pour une candidature n’étant pas réunies à l’interne du Parti socialiste valaisan, le Valais romand étant pris en otage par l’arrogance coutumière du haut, il n’est pas judicieux d’entrer dans la ronde électorale.

Dans ce contexte, j’entends dénoncer l’attitude du PS haut-valaisan (SPO) et de Mme Esther WaeberKalbermatten à l’égard du PS Valais romand, de son bureau exécutif et de son Président Gaël Bourgeois dans le processus de préparation de cette échéance électorale. Tant sur le fond que sur la forme, leur décision a relevé d’abord de l’épreuve de force, puis du fait accompli, tout dialogue ayant été refusé. La candidature de la Conseillère d’Etat sortante se limite ainsi à une posture de défense des intérêts du Haut-Valais, au mépris de ceux du Parti socialiste et de son avenir. Les mensonges de leur communication confirment cette posture. Car, le siège de la Gauche peut parfaitement être assuré par un.e candidat.e du Valais romand, à condition que le PS du Haut collabore et s’engage... Mais, en a-t-il seulement les moyens ?

Cette décision unilatérale sonne comme un déni de légitimité du Valais romand à revendiquer le siège de gauche au Conseil d’Etat, après 20 ans d’hégémonie haut-valaisanne, alors même que le SPO représente moins de 1/5ème de l’électorat socialiste. Sans bonne intelligence entre les deux parties du canton, on s’empêche une dynamique de (re)mobilisation susceptible de mettre fin à l’érosion de l’électorat de gauche exprimée lors des dernières élections fédérales.

Et puis, on ne saurait passer sous silence le faite que la présence socialiste au Conseil d’Etat génère des insatisfactions notables : –48 millions de subventions LAMal en 2014-15, économies sur le dos des plus faibles dans l’aide sociale, opposition à la caisse publique, échec des PC Familles, aucune voix divergente dans les affaires, échec du dossier électronique du patient, fort mécontentement de nombreux acteurs institutionnels de la santé et du social, exacerbation du régionalisme … Faut-il y être pour ça ?

Avec conviction, plaisir et engagement, j’ai eu la chance de servir notre démocratie durant 22 ans, 6 au Grand-Conseil VS, 16 au Conseil national, et mon parti durant plus de 30 ans avec loyauté, assumant des responsabilités aux niveaux communal, régional, cantonal et fédéral. J’en profite pour remercier toutes celles et tous ceux qui m’ont témoigné leur confiance au cours de ces années. Disponible aussi sur : www.stephanerossini.ch "

 

II. Rediffusion d’un article consacré à ce grand démocrate et défenseur des libertés  lors de son accession à la fonction susmentionnée de président du Conseil National, élu le 24 novembre 2014

Rossini Stéphane : futur premier citoyen de Suisse (et toujours partisan du Berufsverbot et de la police de la pensée?)

Uli Windisch

Rédacteur en chef, LesObervateurs.ch

Crédit photo : Un chasseur de quoi et de qui ? / Article publié le 14.11.2014

RossiniSurTraceChasseurs

Le journal Le Matin Dimanche du 9 novembre 2014 consacrait une pleine page au conseiller national socialiste Stéphane Rossini à la veille de son accession au « perchoir » du Conseil national  (Chambre basse du Parlement suisse), accession qui n’est pas due à la qualité des personnes mais simplement à la coutume du « tournus » entre partis politiques pour ce poste de Président du Parlement suisse.

La journaliste, de connivence pour utiliser un euphémisme, fait l’apologie du politicien et idéologue de gauche jusque dans les moindres facettes du personnage. Il faut bien adoucir, pour l’occasion, un profil trop frénétique idéologiquement. Les aspérités sont gommées les une après les autres, l’homme devient un humble citoyen d’origine modeste, « timide » même, et qui, au luxe des grands hôtels, préfère « un petit hôtel » et aime manger dans un  « petit » restaurant  seul et en silence  « la meilleure pizza quatre saisons du monde ». N’en jetez plus. Bref la perfection faite homme.

Il ne serait plus un idéologue forcené : « Le rugueux a appris la douceur et le consensus, mais sans devenir lisse ». N’est-ce pas merveilleux ? Il est prêt à devenir ce premier citoyen du pays qui va sillonner le pays en se faisant applaudir à qui mieux mieux, de ville en ville et de vallées en vallées, et bien sûr là où l’on est fier de l’enfant du pays quel que soit son passé.

Mon intention n’est pas de gâcher la fête mais juste de rappeler que derrière cette « douceur  et ce consensus » se cache aussi des aspects du personnage qui relèvent du Berusfsverbot et de la police de la pensée. Eh oui ! Je me dois de le rappeler car il a failli avoir ma peau à l’Université de Genève pour une critique que j’avais faite du socialisme, en fait de l’ex  ministre socialiste allemand Steinbrück qui pensait qu’il suffisait de menacer de la cavalerie la Suisse à propos de notre secret bancaire. Mais, et c’est ce que l’on savait moins, ce ministre a également traité les Suisses de criminels à cause de ce même secret bancaire. C’est sur ce dernier point que j’avais réagi en signalant qu’en matière de criminalité, de criminalité  de masse même, l’Allemagne n’avait pas de leçon à nous donner. J’en avais rajouté un peu en rappelant que tout le monde savait que du socialisme au totalitarisme il n’y avait eu à plusieurs reprise qu’un pas. C’en était trop. S. Rossini s’était sans doute senti visé, alors qu’il n’ était nullement question de lui. Il avait, comme le président du Parti socialiste suisse  l’avait fait juste avant lui, réagi avec une rare violence et ajouté, parmi tant d’autres violences verbales, que Uli Windisch était « indigne de sa fonction et de ses responsabilités académiques ». C’est clair, non ? Cela ne rappelle-t-il pas le Berufsverbot, voire les pratiques de certaines polices politiques ? Ces deux dirigeants socialistes avaient même obtenu que l’Université fasse une enquête et décide de ce qu’il devait advenir de moi, puisque j’étais subitement devenu indigne de ma fonction. Du moins pour eux deux.

Ce furent plusieurs mois particulièrement difficiles ! Mais j’ai donc survécu et garder ma fonction.

Il faut aussi rappeler  que S. Rossini, visiblement un habitué du genre, avait déjà intrigué contre Oskar Freysinger, alors enseignant, afin de l’évincer de sa fonction ( voir à ce sujet le Forum internet  du Nouvelliste du 22.05.09).

Je peux aussi rappeler que S. Rossini a été chargé de cours dans le même département que moi à l’Université de Genève ( authentique !) mais que je ne me suis ni opposé à sa nomination ni à son renouvellement.

Pour ceux qui voudraient connaître en détail cette affaire, qui est devenue un vrai feuilleton politique et médiatique en 2009 et qui a duré plusieurs mois, avant que mon Université se contente de me réprimander quelque peu. Il fallait bien ce minimum pour ces consanguins politiques.

J’avais trouvé tellement scandaleux cet acharnement politique sur ma personne, ce n’était d’ailleurs pas le premier, qu’avec le soutien d’un nombre impressionnant de personnes, certaines même de gauche, j’ai trouvé l’énergie de décrire le processus de cette chasse aux sorcières en écrivant un livre sur le sujet, dans lequel je raconte en détails  la nature et l’impact de cette affaire: L’Affaire UW, Un révélateur politique et médiatique, Ed l’Age d’Homme, Lausanne, 2010, 272 pages ([email protected]): cela pour les lecteurs qui voudraient plus de détails sur l’affaire. L’Age d’Homme à Paris : 5 rue Férou,75006.

Ce petit rappel, de « l’autre » S. Rossini, qui n’est donc pas que « douceur et consensus », parce que cette affaire de maccarthysme de gauche n’est pas antédiluvienne ; elle ne remonte qu’à 2009. Ce n’est pas qu’une  « vieille histoire ».

Ce « tournus politique suisse » permet donc lui aussi de surprenants recyclages, une forme  de blanchiment politique ? Avec, en plus, une euphorie et un soutien enthousiastes des médias.

Il est vrai que même d’ardents communistes se sont tout simplement transformés et recyclés en Partis politiques « Démocrates » une fois le mur abattu en 1989, mur derrière lequel il y a eu  tant de morts. Ces « démocrates » n’ont guère été inquiétés

Il y aura peut-être un autre moment politique cocasse pour Stéphane Rossini, s'il est comme on le dit candidat aux prochaines élections gouvernementales valaisannes. S'il est élu, il devra en principe s'asseoir quotidiennement à côté d' Oskar Freysinger qu'il a tant aimé!

Uli Windisch, 14 novembre 2014

 

 

9 commentaires

  1. Posté par Charles Alexis le

    @Aude
    « Ce Rossini là……c’est un opéra de 4 sous……. »
    Ne vous en faites pas, les pistons de son cornet ne sont plus huilés comme autrefois.
    Mais de la à dire que Kurt Weill sur nous…….

  2. Posté par Margo le

    Allez, allez, il faut y croire… 😉 Notre Rossini national, fervent adepte et « grand prêtre » des fossoyeurs de nos valeurs, de nos libertés, de nos pays chrétiens, jadis paisibles… il croit encore qu’on va lui laisser continuer sa sinistre carrière de traitre vendu à Bruxelles. Allez, allez on y croit… (si peu…) :-)))

  3. Posté par Aude le

    Ce Rossini là……c’est un opéra de 4 sous…….

  4. Posté par De Landsheere Jacques le

    Le tournedos Rossini en somme!

  5. Posté par Jeferson le

    Le pauvre petit qui s’imaginait rentrer en Valais et être attendu comme l’enfant prodigue! Seulement voilà, jouer les girouettes ne s’improvise pas. Il faut la classe, le côté faux-cul bien catho de ceux du sérail, la flamboyance people et le sens inné du pardon d’un PDC! Il ne suffit pas de souhaiter revenir en vainqueur après avoir été un looser à Berne. Idéologue socialiste -donc borné-, Rossini ne peut qu’allier médiocrité et petites ambitions. Ces socialistes sont des pique-assiettes sans la moindre envergure. Le donneur de leçons, moralisateur, ne peut pas se permettre d’être brillant: dans ce parti on est minable ou on n’est pas.
    Au fait,si c’est pour inciter des vieux parasites du système à prendre leur retraite et à laisser leur place aux jeunes, on peut signaler au petit Stéphane qu’un vieux renard de la politique genevoise, prétendument socialiste comme lui n’arrête pas de se goinfrer de jetons de présence. Un Ziegler, ça m’inspire, y’a de quoi lui consacrer quelques lignes bien senties: http://lesobservateurs.ch/2014/10/21/essai-6/
    Un Torracinta dans les bons jours, on peut se défouler: http://lesobservateurs.ch/2016/01/28/manipulation-grotesque-claude-torracinta-essaie-de-faire-larmoyer-limmigration-se-referant-aux-juifs/
    Mais un Rossini, boaf. Question de morale sans doute: on m’a toujours dit qu’il ne fallait pas tirer sur les ambulances, alors un truc où clignote tous les feux de la convoitise et qui pleurniche « bouh-bouh », on hésite à tirer. Ou alors la chasse…

  6. Posté par Gaston Siebesiech le

    Rossini tourne le dos à Berne. Triomphant il retourne en Valais qui ne l’attend pas! Une vrai gifle, il lui reste Caritas ou il retrouvera Marra. Le socialisme est devenu dur.

  7. Posté par John Longeole le

    On espère que Madame Weber-Kalbermatten fera un dernier mandat et qu’ensuite de ça il n’y aura plus jamais de socialiste au gouvernement valaisan. On espère aussi qu’après ça le (la) socialiste sera remplacé(e) par un(e) deuxième UDC.

    Je rappelle que les socialistes sont presque inexistants en Valais. Ils n’ont pas de réelle légitimité à siéger au gouvernement.

    Il y a bien eu, en un temps antédiluvien, le vieux lion Charles Delberg, qui avait une vraie personnalité et représentait les prolétaires de l’industrie valaisanne (Chippis, Monthey, etc.). Respect pour lui. Mais Charles Dellberg est mort. Il avait adoubé la sympathique Gabrielle Nanchen comme son successeur, mais Mme Nanchen n’est plus là et d’ailleurs plus personne ne se souvient d’elle.

    Pendant toute cette époque, jamais le PS n’a pu accéder au gouvernement. Le parti conservateur PDC majoritaire régnait en maître et laissait les miettes à un unique radical, coopté par lui. Il a fallu attendre les combines entre les deux politicards Pascal Couchepin et Peter Bodenmann pour qu’il y ait un socialiste au gouvernement valaisan. Le deal était le suivant: moi Couchepin je m’engage à ce que mon parti radical te soutienne, toi Bodenmann, comme candidat socialiste au conseil d’Etat valaisan, et en contrepartie, moi Bodenmann je m’engage à ce que mon parti socialiste te soutienne, toi Couchepin, quand tu seras candidat au Conseil fédéral.

    Ainsi fut fait. Et voilà comment le contestataire gauchiste, fils de riche bourgeois Bodenmann (son père était président de l’Association Suisse des Banquiers, on fait mieux comme damnés de la terre et forçats de la faim) est devenu le premier conseiller d’état socialiste valaisan. Ainsi aussi Pascal Couchepin devînt Conseilelr fédéral, un des plus mauvais qu’on ait eus depuis 1848.

    Bodenmann fut très peu apprécié comme Conseiller d’état car c’était un très mauvais homme de gouvernement. Un homme nettement plus capable : Thomas Burgener, lui succédera, puis Esther Weber-Kalbermatten. Effectivement ça fait une lignée de hauts-valaisans. On est en Valais quand-même. C’est clanique.

    Rossini s’est emmêlé les pinceaux et a manqué son coup. Il n’a pas le sens des coups fourrés à la Valaisanne. Tant pis pour lui.

    Maintenant partout, dans toute l’Europe, et pour d’excellentes raisons, les socialistes sont en chute libre. Il n’y a aucune raison pour que ce soit différent en Valais et donc la combinazione Couchepin-Bodenmann n’est plus de mise. Il faudra fermer cette parenthèse et se passer des socialistes qui n’ont plus rien à faire au gouvernement valaisan.

    Vive la nouvelle composition du futur gouvernement valaisan : 2 UDC, 2 PDC, 1 radical (de droite bien entendu). En attendant la composition suivante : 3 UDC, 1 PDC (coopté par l’UDC), 1 radical.

    Je compte sur Oscar Freysinger et son sens politique, pour mener cette évolution à bien dans les prochaines années

  8. Posté par Loulou le

    Pauvre petit socialiste à qui on refuse la gamelle. Pas content, il boude.

    Il pourrait travailler, vous savez cette activité qui consiste à produire quelque chose d’utile contre rénumération.

  9. Posté par Nicolas le

    Damned! La perspective d’une rente de conseiller d’Etat s’éloigne. Il n’y a pas plus âpre au gain immérité qu’un socialiste. Ceci explique cela.

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