3 commentaires

  1. Posté par aurelie le

    Voila pourquoi le PS devrait être interdit et démantelé au niveau international.
    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-gauche-votait-petain-en-masse-192504

    La gauche votait Pétain en masse plus qu’à droite, la rafle du Vel d’Hiv, le FN est né en 1972
    par Marc Filterman (son site)
    vendredi 28 avril 2017
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    1°) Manipulation et mensonges de la presse
    Voici un article de réinformation qui ne va pas plaire à tout le monde. Il peut y avoir quelques erreurs sur certains partis politiques dont la tendance politique est parfois difficile à établir, et sur le chiffrage de quelques élus, dans ce cas me le signaler. Cela fait plus de 77 ans que les français sont trompés, se font insulter par des élus, des ministres (ou ex) et journalistes qui sont loin d’être irréprochables. Ils sont traités d’extrémistes, de fascistes, de populistes, de racistes, par des francophobes, par une gauche francophobe, manipulatrice et menteuse, anti-française, que plus personne ne peut supporter, ce qui explique son échec. Pourquoi je ne parle pas du FN dans cet article, tout simplement parce qu’il n’existait pas du temps de Vichy. Il n’a été créé qu’en 1972, ce qu’ignorent tous jeunos et les journalistes haineux d’aujourd’hui. Il y avait plus de collabos à gauche qu’à droite, y compris en politique. Les tableaux officiels et ceux que j’ai réalisé après recomptage, sont là pour le démontrer.
    Nous avons eu le pire mandat présidentiel sous François Hollande, mais aussi les pires élections, où la presse pro-Macron sous influence américaine au lieu de nous parler des programmes, a pourri la campagne électorale avec des affaires dans le but de favoriser Emmanuel Macron. Cette presse partiale a censuré toutes les affaires de la gauche, le scandale Alstom vendu à General Electric fournisseur dans les années 30 de l’Allemagne nazie, le scandale de la vente de l’aéroport de Toulouse aux chinois, qui se retrouve depuis le 28 mars devant le tribunal administratif. Je n’ai vu aucun candidat parler de la lutte contre la corruption et les conflits d’intérêts, et il n’y a même pas eu une question des médias sur ce sujet. La presse et notamment BFMTV sont les responsables du pourrissement de la campagne électorale. Pourquoi plus de 7 millions de français ont voté pour le FN, la raison est très simple, avec l’arrivé d’internet de nombreux documents ont été publiés, et ne correspondent pas du tout à ce que nous affirme la presse. Les fascistes casseurs des milices de gauche qui dénoncent le fascisme devraient commencer par étudier l’histoire de vichy et de l’Europe financé par les banquiers nazis dès les années 30.

    Ci-dessous à gauche, le Maréchal Pétain (vidéo 3,58mn) avec Adolph Hitler, le 24 octobre 1940.

    2°) La partialité et la censure de la presse, la rafle du Vel d’Hiv.
    La journaliste Audray Pulvar vient d’être suspendue par CNEWS pour avoir signé une pétition anti-FN, car en effet, un journalistes doit être impartial, mais combien d’autres dans ce cas devraient être sanctionnés pour avoir exprimé leur position politique. Nous voyons tous ces journalistes moralistes dénoncer le fascisme dit de droite qui était entré en résistance, alors que la gauchosphère de Vichy était pro-nazie, anti-nationaliste, anti-franc-maçon, anti-sémite, homophobe, et xénophobe. La gauche a largement collaboré avec l’Allemagne socialiste nazie, mais là aucune diabolisation des socialistes par la presse, car c’est blasphématoire d’accuser la gauche. Pourtant de nombreux socialistes ont soutenu et même collaboré avec les nazis et ont même fait parti du gouvernement de Vichy, mais là silence de la presse. Quant à la droite elle était anti-allemande. Il est bien connu que le FN a voté en masse pour le Maréchal Pétain, même si celui-ci n’a été créé qu’en 1972. Avant le 1er tour de l’élection Présidentielle le 21 avril 2017, la presse manipulatrice a beaucoup bavé pour diaboliser le FN sur la rafle du Vel d’Hiv de 16 juillet 1942 avec l’arrestation de 13.000 Juifs parisiens de 2 à 60 ans, dont 4000 enfants ont été déportés vers les camps de concentration (vidéo 2mn). Nous avons entendu sur BFMTV Christophe Barbier encenser les SFIO qui ont voté contre Vichy, mais ils étaient seulement 36 SFIO et non pas 80, et 85 élus SFIO ont voté pour le Maréchal Pétain, qui s’est mis au service de l’Allemagne socialiste nazie d’Adolph Hitler. Comme quoi nos journalistes sont loin d’être fiables. Le document ci-dessous sur le statut des juifs a été rédigé par le gouvernement de vichy à la veille de l’arrivée d’Adolph Hitler.

    Problème, cette presse dite impartiale a préféré censurer toutes les informations gênantes pour la gauche socialiste, car il aurait été beaucoup plus juste de parler de la responsabilité de la gauche dans Vichy et les déportations. Je me demande si cette provocation de Marine Le Pen n’a pas été faite pour faire remonter à la surface le passé trouble de la gauchosphère de Vichy. Il faudrait que Christophe Barbier ré-apprenne l’histoire de Vichy ainsi que les élu(es) de la droite. Cette rafle avait été organisée par le préfet René Bousquet, proche du socialiste de Pierre Laval (photo) qui avait déclaré aux autorités allemandes qu’on ne pouvait pas pour des raisons humanitaires séparer les enfants de leurs parents qui partaient vers les camps de concentration nazis (vidéo 7mn). Le Maréchal Pétain, Pierre Laval, et Edouard Daladier, rencontreront Adolph Hitler le 24 octobre 1940. Il n’y a que le Général de Gaulle avec son discours du 18 juin 1940, et d’autres, qui ont tenté de s’opposer au gouvernement de Vichy du Maréchal Pétain et de Pierre Laval. Il dénoncera les négociations faites par Pierre laval avec les nazis qui ont réduit la France à l’esclavage.
    Ci-dessous à gauche le socialiste Pierre Laval avec Adolph Hitler le 24 octobre 1940 à Montoire. Le Président François Hollande dénonce le nationalisme comme une menace. Il faudrait rappeler au Président Hollande que l’anti-nationalisme a permis l’invasion de la France par les nazis, y compris par les collaborateurs de la gauche, qui ont réduit la France à l’esclavage. Le socialiste Pierre Laval a négocié avec les nazis (vidéo 11mn), résultat Pierre Bousquet sera chargé de la déportation des juifs et de leurs enfants (vidéo 9ème minute) vers les camps de concentration.
    Ci-dessous à gauche, le socialiste Edouard Daladier qui confisquera le mandat des 61 élus communistes et fera emprisonner 45 d’entre eux, il rencontrera Adolph Hitler le 24 octobre 1940.

    Ci-dessous à gauche le Maréchal Pétain, et à droite François Mitterrand au gouvernement de Vichy, sera décoré de la Francisque.

    Ci-dessous à gauche le Maréchal Pétain et au centre François Mitterrand au gouvernement de Vichy

    Ci-dessous à gauche, René Bousquet et Pierre Laval

    Ci-dessous à droite, René Bousquet réjouit et ami des nazis avec le Chef SS Oberg, dira aux allemands qu’il souhaitait se débarrasser des juifs étrangers et des enfants juifs (vidéo 7mn).

    Pierre Arpaillange, ancien garde des Sceaux de 1988 à 1990, avait déclenché une procédure judiciaire contre René Bousquet (vidéo 2,56mn), chef de la police sous Vichy et organisateur de la déportation du Vel d’Hiv. Il s’était opposé à François Mitterrand qui a tout fait pour empêcher son procès. Le 25 septembre 1990, Arpaillange donne des instructions écrites au procureur général près la cour d’appel de Paris pour engager des poursuites contre René Bousquet. Il ne sera jamais jugé car il sera assassiné le 8 juin 1993 par Christian Didier. Bousquet ami des nazis était aussi l’ami de François Mitterrand (Photo 1974) élu Président le 21 mai 1981 qui avait fait parti de Vichy, mais çà tous les journalistes moralistes dits indépendants (sic) ont oublié de vous le dire.
    René Bousquet à gauche sera assassiné en 1993, et François Mitterrand à droite (vidéo 16,22mn)

    3°) Après Vichy, l’épuration par les milices
    En 1979, Jean Leguay, représentant du secrétaire général de la police nationale en zone occupée, est inculpé pour cette rafle, mais il meurt avant d’être jugé en 1989, ce qui devait arranger la gauche. Ces arrestations ont été faites sur ordre du gouvernement de Vichy par 7.000 policiers et gendarmes français. Ils ont été aidé par 300 militants du PPF (Parti Populaire Français) créé en 1926 par Jacques Doriot ex-PCF (video 1,19mn) et ex-chef des Jeunesses communistes (JC) en 1923, député en 1924, membre du comité central du Parti communiste français. Il mourra en uniforme allemand. Le PPF (1936-1945) était le principal parti politique fasciste français, avec le RNP (Rassemblement national populaire) du député socialiste Marcel Déat qui sont les deux principaux partis de la collaboration de 1940 à 1944. Le 1er février 1941 les FTP, « Francs-Tireurs et Partisans Français » (FTPF), ou « Francs-Tireurs et Partisans » (FTP), et les FFI, « Forces françaises de l’intérieur » sont créés et fusionnent. Cette partie de l’histoire n’est jamais évoquée. A la fin de la guerre, l’armée française intègre des FFI et FTP communistes vrais résistants, mais aussi des faux résistants, des collabos transformés en résistant de la dernière heure, qui se déchaîneront contre les anti-nazi et les vrais résistants. Ces quelques FTP faux résistants se livreront à une épuration. Une partie commettra des milliers de meurtres, viols, pillage (vidéo 7,42mn). Certains FFI-FTP ont torturé et assassiné des personnes à cause de leur position sociale, des commerçants, des femmes, des catholiques, des châtelains (dont certains étaient de vrais résistants), et ceux qui pouvaient les identifier comme les vrais collabos des nazis. De 30.000 à 40.000 français(es) (jusqu’à 100.000) ont été violés, torturés et assassinés sans procès juste pour avoir parlé à un allemand, ou parce qu’il connaisait ou croisait une personne jugée infréquentable. La presse bien pensante préfère censurer ce sujet brûlant, parce que des membres de cette gauche ont participé à l’épuration à la libération. Je n’ai pas mis de liens vidéos, car certaines sont très violentes comme vous le verrez en utilisant sur youtube les mots épuration+vichy ou nazi. A Marseille 800 corps avaient été jetés dans le Jarret. En 2015, Franck Liagre publiait une première étude scientifique sur les FTPF et écrivait : « les FTP n’ont pas infligé de pertes sévères aux Allemands » par contre à la libération certains se sont déchaînés. Il montre que les collaborateurs sont devenus leur cible qu’à partir de 1944. Ils se sont livrés à de très nombreuses attaques contre les banques et autres.

    4°) Combien d’élus ont voté pour le Maréchal Pétain et pour Vichy.
    Le 10/04/2015, un article était publié sur le site de FranceTVinfo, je l’ai découvert fin 2015. J’ai tout de suite vu qu’il minimisait la responsabilité de la gauche sur le vote pour les pleins pouvoir au Maréchal Pétain et à Vichy. Il parlait de ceux qui ont voté contre, mais pas de ceux qui ont voté pour. J’ai donc repris à temps perdu les calculs et l’historique des partis, il y avait quand même environ 900 élus à classer. J’ai très vite vu que plusieurs partis ont été oubliés, comme celui de la « Gauche Démocratique ». Il est très drôle de constater qu’une partie de l’histoire de certains partis politiques est absente sur la période 1935 à 1950, comme si certains avaient des choses à se reprocher et à dissimuler. Autre drôlerie, le front national n’existait pas, en revanche la gauchosphère anti-juive était déjà présente. Quand on reprend l’historique des grands partis et micro-partis, on découvrent qu’ils sont bien plus nombreux à gauche qu’à droite, mais ils ont été oubliés. Quand on refait les calculs, le nombre de parlementaires de gauche qui ont voté pour Pétain est bien plus élevé, même si on retranche les partis centristes ou les élus non inscrits, alors que certains ont là aussi une tendance de gauche. Les tableaux qui suivent permettent de le prouver. J’ai vu aussi que l’excuse d’absence a été utilisée pour minimiser la responsabilité de la gauche, mais comme chacun le sait, les absents ont toujours tort. Vous trouverez à suivre les chiffres officiels qui sont donnés par les divers médias. Chez Jean-Jacques Bourdin, Christophe Cambadélis reconnaîtra que des socialistes ont voté les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.

    4A°) En 1940, la gauche a voté pour les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.
    Le texte adopté :
    « Article unique.
    L’Assemblée nationale donne tout pouvoir au gouvernement de la République, sous l’autorité et la signature du maréchal Pétain, à l’effet de promulguer par un ou plusieurs actes une nouvelle constitution de l’État français. Cette constitution devra garantir les droits du Travail, de la Famille et de la Patrie.
    Elle sera ratifiée par la Nation et appliquée par les Assemblées qu’elle aura créées. La présente loi constitutionnelle, délibérée et adoptée par l’Assemblée nationale, sera exécutée comme loi de l’État. »
    Fait à Vichy, le 10 juillet 1940
    Par le président de la République, Albert Lebrun
    Le maréchal de France, président du conseil, Philippe Pétain

    Chiffres officiels, sur 669 élus présents :
    Elus Inscrits
    846 élus Elus présents Votes exprimés Majorité absolue Pour l’adoption Contre l’adoption Abstention
    544 députés +
    302 Sénateurs 669 élus 649 élus 325 élus 569 votes
    80 élus 20 élus
    « Désigner nommément les 292 parlementaires de gauche ayant voté pour Pétain en rappelant à l’occasion leurs états de service, voilà qui est blasphématoire ! »

    4B°) En 1939 il y avait 907 parlementaires inscrits.
    Ces chiffres sont ceux qui sont cités le plus souvent. En réalité les chiffres sont faux pour la droite et la gauche, certains partis de gauche ont été superbement ignorés, voir les tableaux à suivre, et l’historique des partis à la fin.
    Le 10 juillet 1940, les parlementaires inscrits étaient 544 députés + 302 Sénateurs, soit 846.
    Le jour du vote, 426 députés + 244 Sénateurs soit 670 des 669 parlementaires sont présents.
    Les 649 suffrages exprimés représentent 71,55 % des 907 parlementaires
    Les voix « pour le Maréchal Pétain » représenteraient 62,73 % des votes.

    176 parlementaires sont absents :
    – 17 parlementaires étaient décédés et d’autres dans l’impossibilité de rejoindre Vichy.
    – 26 députés et 1 Sénateur avaient embarqué sur le paquebot Massilia le 21 juin 1940 au port de Verdon près de Bordeaux pour Casablanca.
    – 60 députés et 1 Sénateur communistes sont interdits de siéger depuis le 16/01/1940. Ils ont été déchus de leur mandat (sauf 2) à la suite de la rupture du pacte germano-soviétique et du décret-loi d’Édouard Daladier du 26/09/1939 interdisant de vote le Parti communiste, dont 45 seront arrêtés.
    La séance était présidée par Jules Jeanneney, Président du Sénat, qui ne prend pas part au vote. La gauche est majoritaire, et je ne parle pas des socialistes qui ont aussi été décorés de la Francisque, décoration suprême, ni de ceux qui sont en photo avec des néo-nazis ou ex-néo-nazi.
    Edouard Daladier et Adolphe Hitler

    4C°) Sur les 649 suffrages, 569 votent pour les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain :
    061 élus communistes ont été déchus de leur mandat.
    292 parlementaires de gauche sur 649 présents ont voté pour donner les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, pour que son gouvernement se rallie au parti national socialiste nazi qui voulait finir de massacrer les juifs. Eh oui, d’autres ont fait pire que la droite de 1934. Voici le décompte :
    357 députés + 212 sénateurs = 569 élus, soit 62,73 % votent pour Pétain
    Les 649 suffrages exprimés représentent 71,55 % des 907 parlementaires
    286 parlementaires ont une étiquette de gauche ou de centre-gauche (chiffre FAUX ils sont +)
    237 parlementaires ont une étiquette de droite ou de centre-droit (chiffre FAUX, ils sont moins)
    046 parlementaires sont sans étiquette.
    569 élus votent les pleins pouvoir au Maréchal Pétain
    +80 contre tous partis confondus
    649 suffrages exprimés

    Abstentions
    12 députés + 08 sénateurs = 20 dont 3 après rectification de leur vote
    61 parlementaires communistes (60 députés et 1 sénateur) ne peuvent voter depuis le 16/01/1940, ils ont été déchus de leur mandat et arrêtés, sauf 2.
    176 parlementaires étaient absents pour divers motifs.

    Contre
    Sur les 80 parlementaires votants contre les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain
    57 députés + 23 Sénateurs = 80 votent non pour les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.
    73 parlementaires ont une étiquette de gauche et de centre-gauche
    07 parlementaires ont une étiquette de droite ou de centre-droit.

    5°) Répartition des votes par parti politique.
    Le « Front Populaire » (vidéo 6,51mn) dirigé par les socialistes était une coalition de partis de gauche qui a gouverné la France de 1936 à avril 1938 avec 3 principaux partis :
    1) SFIO, Section Française de l’Internationale Ouvrière,
    2) « Parti radical-socialiste, », devient en 1972 « Parti Socialiste ».
    3) « Parti communiste », en septembre 1939, 49 députés communistes sont arrêtés. Le radical Édouard Daladier succéda à la présidence du conseil au socialiste Léon Blum qui démissionne suite de son échec
    4) Parti de la « Gauche Démocratique », ce parti n’est jamais cité, alors que 106 élus ont voté pour les pleins pouvoir au Maréchal Pétain. Visiblement ce parti a été oublié. Viennent se rajouter ensuite toute une nébuleuse de micro-partis de la gauche :
    – Union socialiste républicaine (USR) de Paul Ramadier,
    – Parti d’unité prolétarienne PUP,
    – Parti Camille Pelletan,
    – Jeune République de Marc Sangnier,
    – Parti frontiste (de gauche), etc…
    19
    03
    01
    00
    01
    – ARGRI
    32
    – Communistes non déchus 02
    – GDRI
    26
    – Gauche indépendante
    03
    – UPF
    04
    – UDR
    25

    – SFIO, Section Française de l’Internationale Ouvrière
    85
    – Parti radical-socialiste (parti socialiste)
    62
    – Parti de la Gauche Démocratique
    106
    Total ayant voté pour le Maréchal Pétain 369 élus de gauche
    J’en suis déjà au moins à 369 élus de gauche qui ont voté pour Pétain, et je n’aurais pas du tenir compte des 46 élus non inscrits, car certains sont de tendance gauche.
    Agraire indépendant
    006 Clairement identifié à droite
    ANRS
    011 Clairement identifié à droite
    Fédération républicaine
    035 Clairement identifié à droite
    Indépendants républicains
    007 Clairement identifié à droite
    IURN
    004 Clairement identifié à droite
    RIAS
    022 Clairement identifié à droite,
    UR, Union républicaine
    042 Identifié à droite, 127 élus de droite
    IAP (centriste)
    011 Tendance politique inconnue, plutôt centriste
    PDP (centriste)
    010 Tendance politique inconnue, plutôt centriste = 21 élus
    Non inscrits (NI) 046 Tendance politique inconnue, que je n’auris pas du compter
    Elus assimilés à la droite 194 194 – 46 (NI) = 148
    Je ne sais donc pas comment des historiens et des journalistes sont arrivés à compter 237 élus de droite, c’est impossible sauf en mélangeant le tout venant et encore. Il faudra que ces historiens m’expliquent comment ils ont fait leurs calculs.

    6°) Répartition des votes parti politique par parti politique.
    369 élus de gauche Pour Pétain +127 élus de droite Pour +21 élus centristes Pour +176 élus absents qui n’ont pas voté. Certains étaient décédés, emprisonnés, ne se sont pas déplacés, ou avaient embarqué sur un bateau pour quitter la France, etc…
    Partis Politiques, Sigles Partis Politiques, Nom Créant Pour Contre Absent
    Agraire indépendant
    1927 06 00 01
    ANRS
    Action Nationale Républicaine et Sociale 1903 11 00 07
    ARGRI
    Alliance démocratique, centre gauche 1901 32 02 07
    Communiste non déchus 1940 02 00
    Fédération républicaine
    1903 35 00 11
    Gauche démocratique
    groupe gauche modéré 1905 106 14 19
    Gauche indépendante
    1905 03 04 04
    GDRI
    Gauche Démocratique et Radicale indépendante 1901 26 01 04
    Groupe ouvrier et paysan français
    (ex-communiste) 02 00 00
    Indépendants républicains
    07 00 05
    IAP
    Indépendants d’action populaire 11 00 06
    IURN
    Indépendants d’Union Républicaine et Nationale 04 00 02
    Non inscrits Plusieurs sont à droite ou à gauche ——— 46 00 10
    Parti Camille Pelletan
    01 00 01
    Parti frontiste
    01 00 00
    Parti radical
    Parti républicain, radical socialiste, devient en 1991 Parti Socialiste
    1901 62 13 31
    PDP
    Parti démocrate Populaire centriste 1924 10 04 00
    PUP
    Parti d’Unité Prolétarienne 03 01
    RIAS
    Républicains indépendants et d’action sociale 22 01 03
    SFIO
    Section française de l’internationale Ouvrière 1905 85 36 34
    UDR
    Union démocratique et radicale
    25 00 00
    UPF
    Union populaire française créé avec les dissidents du parti communiste opposé au pacte germano-soviétique 1939 04 03 02
    UR
    Union républicaine
    42 00 19
    USR
    Union socialiste républicaine créé en 1935, regoupe l’aile droite de la SFIO 1935 19 02 06
    Abstentions / votes blancs 20 abstentionnistes
    TOTAL 20abstentions+542pour+80contre= 642 ——- 542 80 175

    07°) Les divers partis présents sous VICHY.
    Quand on refait les calculs, c’est au moins 371 élus de gauche, 85 élus de droite, 21 centristes qui ont voté pour Pétain. Quant aux journalistes et historiens qui ont compté les 45 non inscrits les 21 centristes dans la droite, bien malin celui qui serait en mesure de donner leur couleur politique. Ils ont été mis dans la droite pour rééquilibrer la balance afin de minimiser la responsabilité de la gauche qui a en plus eu des représentants dans le gouvernement de Vichy, ce que là aussi tout le monde préfère oublier. Le site gauchemip.org dans un article du 17 avril 2017 parle dans toutes ses phrases de la droite et de l’extrême droite, mais à aucun moment il ne fait le trie entre les partis identifiés comme de gauche, ou comme étant clairement de droite, comme j’ai tenté de le faire ici. Il parle seulement de la fédération républicaine qui ne comptait que 46 élus. Le Front National assimilé à l’extrême droite n’existe que depuis 1972, et n’existait pas l’époque de Vichy contrairement à ce que certains essayent de faire croire. Alors sur les partis que je cite il peut y avoir quelques erreurs, me le signaler dans ce cas, mais chacun pourra constater après recomptage, la gauche était plus nombreuse à avoir voté pour Pétain. J’entendais encore le 24 avril Christophe Barbier qui déclarait que les SFIO avaient voté majoritairement contre Vichy, oui si peu, mais il oublie opportunément de parler du « Parti Radical », et aussi de la « gauche démocratique ». J’ai cru au début que le Parti Radical était un parti de droite, mais c’est en réalité tout le contraire, il était de gauche, et s’est appelé à partir de 1971.

    Alliance démocratique (AD) : créé le 23/10/1901, formation du centre gauche puis de centre droit durant la Troisième République, devient avec le Parti radical (PS) le pilier des gouvernements de 1901 à 1940. Dès 1910 ses membres seront dénommés « républicains de gauche », puis il s’appelle :
    De 1901 à 1911, puis de 1917 à 1920 : Alliance républicaine démocratique (ARD) ;
    De 1911 à 1917 : Parti républicain démocratique (PRD) ;
    De 1920 à 1926 : Parti républicain démocratique et social (PRDS) ;
    À partir de 1926 : Alliance démocratique (AD).

    Agraire indépendant : créé en 1927, tendance gauche, ancien parti corporatiste d’agriculteurs des années 1930. En février 1936, scission, l’aile gauche crée le Parti républicain agraire et social. Le PRAS est issus du Parti agraire et paysan français (PAPF), donnant naissance au JAP de l’Union républicaine paysanne, proche du Parti radical-socialiste.

    ANRS : ou Fédération républicaine créé était un parti de la droite républicaine libérale et conservatrice de la IIIe République créée en novembre 1903 pour regrouper l’aile droite des républicains « modérés » L’autre grand parti de la droite libérale, plus laïque et centriste, était l’Alliance démocratique (France). La Fédération républicaine s’est créée en novembre 1903 pour regrouper l’aile droite des républicains « modérés », aussi appelés « opportunistes » puis « progressistes », qui refusaient le ministère de Bloc des gauches de Pierre Waldeck-Rousseau et l’alliance avec le parti radical-socialiste. Ces républicains conservateurs, issus de l’Association nationale républicaine, de l’Union libérale républicaine, de l’Alliance des républicains progressistes et des groupes parlementaires modérés1, sont les héritiers idéologiques de Jules Méline, Alexandre Ribot, Jean Casimir-Perier ou Charles Dupuy. C’est un parti de la bourgeoisie républicaine, notamment liée aux milieux d’affaires, très opposé aux réformes sociales et partisan d’une certaine décentralisation (on peut voir en elle un descendant des républicains girondins de la Révolution française). Ce parti est favorable dès sa création au droit de vote des femmes2.

    ARGRI : l’Alliance des Républicains de gauche et des radicaux indépendants, ou Alliance Démocratiques, créé en 1901, en 1936 dispose de 44 députés répartis dans :
    La Gauche démocratique et radicale indépendante (GDRI).
    La Gauche indépendante (GI).
    Les Indépendants républicains (IR).
    L’Alliance des républicains de gauche et des radicaux indépendants (ARGRI).
    Parti Communiste , 2 députés conservent leur mandat.

    Fédération républicaine : créée en novembre 1903, tendance droite, pour regrouper l’aile droite des républicains « modérés », qui refusaient le ministère de Bloc des gauches et l’alliance avec le parti radical-socialiste. Ces conservateurs, de l’ANR (Association nationale républicaine), de l’Union libérale républicaine, de l’Alliance des républicains et de groupes parlementaires modérés se regroupe s »oppose aux réformes sociales et partisan de la décentralisation. Ce parti sera favorable dès sa création au droit de vote des femmes.

    Gauche démocratique : créé en 1905 qui est volontairement ignoré par les médias, a fourni le plus gros contingent, avec 106 élus qui ont voté pour les « pleins pouvoirs » au Maréchal Pétain. Il regroupe des républicains modérés de l’Alliance démocratique, plus proche des radicaux. En 1914 il réunit des élus de la Gauche démocratique, de l’Union républicaine et de la Gauche démocratique. En 1989, il devient le Rassemblement démocratique européen (RDE), en septembre 1995, il est renommé Rassemblement démocratique et social européen (RDSE), qui réunit les radicaux de gauche et des centristes. Après 2004 il comptait 18 membres de la gauche et 1 de la droite.

    Gauche indépendante : créé en 1905, devient en 1914 un groupe de gauche modéré :
    la Ligue de la jeune République ;
    le Parti radical-socialiste Camille Pelletan ;
    le Parti social-national ;
    le Parti d’unité prolétarienne ;
    le Parti frontiste ;
    des ex-membres du Parti républicain-socialiste.

    GDRI : La Gauche radicale est un ex-groupe d’extrême-gauche du début de la 3ème République. En 1914 il rejoint le Parti radical-socialiste, créé en 1901, ses membres de rejoignent le groupe de Gauche radicale-socialiste, qui vote un coup à droite, un coup à gauche.

    Groupe ouvrier et paysan français : en septembre 1939, ce parti d’abord opposés au pacte germano-soviétique, il intègre des anciens du Parti communiste français qui sabotent la défense nationale Française, puis ils entrent en collaboration avec l’Allemagne nazie.
    Indépendants républicains : créé en 1936, ce groupe conservateur se compose de députés de droite en 1928. En 1938, plusieurs membres partent pour créer le groupe du Parti social français.

    IAP : Indépendants d’action populaire se compose après le scrutin législatif de 1936 de 16 députés. Ce groupe centriste est issu du groupe des Républicains du centre. Les députés viendront ensuite de l’Union populaire républicaine, le parti démocrate-chrétien alsacien, et ceux de l’Union républicaine lorraine.

    IURN : A été créée en novembre 1903 « Indépendants d’Union Républicaine et Nationale », ou « Fédération Républicaine » pour rassembler les républicains « modérés », qui refusaient le ministère des Bloc des gauches et l’alliance avec le parti radical-socialiste. Ces conservateurs venaient de l’Association nationale républicaine, de l’Union libérale républicaine, de l’Alliance des républicains progressistes et des groupes parlementaires modérés. A sa création, ce parti était favorable au droit de vote des femmes.

    Non inscrits : Ils étaient 45 de tendance droite ou gauche, donc impossible à classé, mais il semblerait que les journalistes et historiens les ont classés à droite, ce qui est une manipulation.

    Parti Camille Pelletan : créé en mai 1934, par Gabriel Cudenet, président de la fédération radicale-socialiste de Seine-et-Oise, des membres participent au Front Populaire.

    Parti frontiste : parti politique créé en 1936 par Gaston Bergery et Georges Izard, membre de la coalition de Front populaire de gauche. Le premier soutient le maréchal Pétain alors que le N°2 entre dans la Résistance.

    Parti radical : Le parti radical est de tendance gauche mais certains semblent l’avoir classé à droite. A l’origine il s’appellera en 1881 Le Radical, il deviendra de 1911 à 1918 « Parti radical et radical-socialiste » et aura jusqu’à 196 députés. Après la crise de 1926, en 1931 il est clairement identifié à gauche et même « extrême gauche », et adhère au « Front Populaire ». Après 1950, ses membres de dispersent vers plusieurs composantes politiques avec une scission socialiste, UDF, RPR. Il se décompose en 1972 et devient le « parti socialiste ». Le Parti radical de gauche, s’associe à l’Union de la gauche, sous le nom de Mouvement des radicaux de gauche. Le PRG est proche du Parti socialiste. Sa décomposition génère plusieurs partis radicaux minoritaires existent :
    le Parti radical-socialiste Camille Pelletan, issu de la scission de 1934.
    La nébuleuse des Radicaux indépendants, issus de l’aile droite du radicalisme de gauche, qui ont animé plusieurs formations politiques (notamment le Parti radical indépendant) et de groupes parlementaires (l’Union républicaine radicale et radicale-socialiste, la Gauche radicale, la Gauche sociale et radicale, la Gauche démocratique et radicale indépendante à la Chambre des députés, et l’Union démocratique et radicale au Sénat.
    l’Union des républicains radicaux (U2R), qui réunit les radicaux issus de 2 branches. L’U2R fait partie maintenant de la Gauche moderne après avoir soutenu François Bayrou en 2007 (voir Historique du « Parti Radicale »).
    PDP : Parti Démocrate Populaire créé le 15/11/1924 sur le modèle de la SFIO, centriste, démocrate, chrétien, disparaît après le vote pour Pétain, et s’oppose à vichy, plusieurs de ses membres entrent dans la résistance. Le PDP est difficile à classer car il n’est ni de droite, ni de gauche.

    PUP : Parti d’Unité Prolétarienne

    RIAS : A l’origine groupe de la Droite Constitutionnelle créé par Jacques Piou, devient en 1898, le groupe parlementaire de la Droite républicaine. Il sera renommé à la suite des législatives de 1936 remportées par le Front populaire de gauche, pour devenir groupe des Républicains indépendants et d’action sociale. Il regroupe des députés de droite opposés à la dérive de la Fédération républicaine à droite. Une partie des Républicains indépendants avait été membre du groupe Républicain et social créé après les élections de 1932 par Georges Pernot, qui s’opposait déjà au penchant droitier de la Fédération républicaine. En 1949 certains rejoindront le Centre national des indépendants et paysans (CNI).

    SFIO : Section Française de l’Internationale Ouvrière créé en 1905. Jean Jaurès, socialiste indépendant, sera un des co-fondateurs de la SFIO. Dès le 12 juin 1934, un mouvement apparaît pour une action unifiée. Les socialistes et communistes sont divisés et opposés suite à la scission du SFIO lors du Congrès de Tours, d’où naîtra la SFIC. Il deviendra plus tard le PCF, et donnera en 1969 le Parti socialiste, lors du congrès d’Issy-les-Moulineaux où il s’associera à l’Union des clubs pour le renouveau de la gauche.

    UPF : Union populaire française créé en 1939 avec les dissidents du parti communiste opposé au pacte germano-soviétique

    UR : Union Républicaine créé en février 1871, rassemble d’abord les républicains radicaux, puis modérés, créant la scission de l’extrême-gauche radicale (Georges Clemenceau) en 1876. Pendant le ministère Gambetta (1881-82), René Goblet se détache du groupe en fondant la Gauche radicale. Après les législatives de 1885, qui marquent un recul important du camp républicain au profit de la droite. L’Union républicaine représente, avec l’Union démocratique, les modérés (ou « opportunistes »), concurrencés sur leur gauche par l’extrême-gauche et la Gauche radicale.

    USR : Union socialiste républicaine créé en 1935, regoupe 3 partis de l’aile droite du SFIO. En 1936 il a participé à la coalition de Front populaire ainsi qu’au gouvernement. En 1940 l’USR entre en veille et disparaît à la Libération. Certains retournent à la SFIO, d’autres issus du courant « néo-socialiste » de Marcel Déat, sont condamnés collaboration avec les nazis.

    Scandale rafle du Vel d’Hiv : 80% des collabos sous l’occupation venaient de la gauche
    http://lagauchematuer.fr/2017/04/12/scandale-rafle-du-vel-dhiv-80-des-collabos-sous-loccupation-venaient-de-la-gauche/
    « Eh oui, ça fait mal, la vérité dérange » explique le Rabbin Haïm Harboun au début d’un article au ton visiblement irrité par la façon dont la gauche morale réécrit sa propre histoire.
    « Il est temps que l’on lève le voile posé par les historiens des années 70 et 80 qui se sont largement employés à revisiter l’histoire pour sauver leurs meubles ! » déclare Haïm Harbour.
    Le Rabbin Harboun cite ici Simon Epstein, l’économiste et historien, auteur entre autres de “Un paradoxe français*”.
    Extraits choisis.
    Mensonge de gauche n°1 :
    Les collaborateurs pendant la seconde guerre mondiale étaient majoritairement à l’extrême droite. C’est tout l’inverse. La majorité des premiers résistants était issue de l’Action Française qui prônait le “nationalisme intégral” et était germanophobe.
    Mensonge de gauche n°2 :
    La gauche pacifiste, antiraciste et philosémite a majoritairement composé la Résistance. C’est tout l’inverse. Les pacifistes ont continué d’être pacifistes sous la botte des nazis (comme les dreyfusards).
    Plus précisément, le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration, et les pacifistes furent donc très nombreux à collaborer.
    « la gauche fut dominante dans la collaboration parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme »
    Georges Suarez, qui fut l’ami de Joseph Kessel dans les années 20 et le biographe de Clémenceau et de Briand est un bel exemple de cette logique de gauche qui mène du pacifisme au nazisme. Par souci de réconciliation franco-allemande, il devint, sous Vichy, un pronaziste effréné, et fut le premier journaliste à être jugé pour collaboration : il était proche de la gauche briandiste.
    Que la gauche fut dominante dans la collaboration parce qu’elle fut dominante dans le pacifisme est une vérité très dérangeante, et les historiens soucieux d’inculper “toutes les droites”, soucieux de leur faire porter la responsabilité des erreurs, des trahisons et des crimes des années 1940-1944 ont tous un trou de mémoire sur ces quatre années noires.
    Nos historiens – de gauche – chargeront Maurras (Action Française) de forfaits commis par des gens, qui, pour beaucoup, étaient des antimaurrassiens endurcis. Ils s’acharneront sur La Roque (les Croix de Feu), qui vraiment n’y était pour rien, tandis qu’ils ignoreront ces pacifistes, intransigeants et candides à la fois, qui se fascinèrent pour l’Allemagne de Hitler.
    Et cela dure jusqu’à maintenant…
    Simon Epstein, dans son livre, cite entre autres Bernard Lacache, le président de la LICA (ancêtre de l’actuelle LICRA) qui dénonça ces traîtres qui, ayant milité au sein de ce mouvement pacifiste de gauche, se convertirent à la collaboration. Et bien entendu, il n’oublie pas, dans une notice biographique précise, François Mitterrand…
    Mais Mitterrand ne fût pas le seul collabo de gauche qui fit la navette :
    • Drieu-La Rochelle était-il d’extrême droite avant guerre ? Non. Il était de gauche et philosémite.
    • Jean Luchaire, Pierre de Brinon, Alphonse de Chateaubriand : des hommes de gauche.
    • Doriot, Déat ? de gauche.
    • Cocteau, Aymé, Giono ? de gauche.
    • Bergery ? radical de gauche.
    • Bertrand de Jouvenel ? de gauche.
    • Simon Sabiani, Maurice-Ivan Sicard, Paul Perrin, André Grisoni, Paul Rives, Maurice Levillain, Barthélémy Montagnon, René Chateau, Claude Jamet : tous de gauche, tous collabos.
    • Robert Jospin (le père de Lionel) pacifiste intégral, munichois, proche de Marcel Déat : SFIO.
    • Camille Chautemps, Georges Bonnet, Maurice Papon, René Bousquet : la gauche radicale.
    • Robert Hersant : gauche radicale.
    • Charles Spinasse, Georges Monnet : eux aussi de gauche.
    • Alfred Baudrillart, Marc Augier, Jean Balestre : tous à gauche.
    • Camille Planche, Léon Emery, René Gérin, étaient déatistes et venaient de la gauche.
    • Saint-Loup (alias Marc Augier qui, avant guerre, chantait “Au devant de la vie” avec ses camarades juifs des Auberges), Saint-Paulien (alias Maurice-Ivan Sicard, qui avant guerre vomissait dans son “Huron” le fascisme et les fascistes), Roland Gaucher (ex- Roland Goguillot qui militait aux Etudiants révolutionnaires), François Brigneau (Emmanuel Allot, pacifiste de gauche) : des ex-antifascistes, des anciens de la gauche et de l’extrême gauche, et qui devinrent des ordures de la collaboration, puis militants d’extrême droite après la guerre.
    • René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy, responsable de la déportation de 54.000 juifs français, l’ami de toujours de François Mitterrand : centre gauche républicain.
    • 12 des 17 ministres SFIO de la fin de la III° République furent exclus du parti après guerre pour avoir collaborer avec les allemands.
    Qui sera étonné de rencontrer encore la gauche, aujourd’hui, dans le lit de l’islam ?
    Ce court inventaire de la gauche de la honte demande bien entendu à être complété par le parcours de Georges Gustave Hollande, le père de notre président de la République, dont la fiche sur Wikipedia a été totalement réécrite, et je vous laisse imaginer dans quelle direction

  2. Posté par conrad hausmann le

    Flatter les étrangers–pour ne pas dire plus– c’est le clientèlisme le plus stupide et c’est le PSS à l ‘oeuvre!

  3. Posté par Marie le

    Un seul passeport est plus logique.

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