Excédés par la présence des migrants dans leur ville, des Calaisiens ont décidé de "faire la police eux-mêmes" et d'empêcher les distributions de nourriture.
REPORTAGE
À Calais, la hache de guerre est déterrée entre les associations de soutien aux migrants et les habitants. Des bénévoles tentent de leur apporter le minimum vital - repas, vêtements, couvertures - aux migrants, de plus en plus nombreux aux abords de l'ancienne jungle. Mais les autorités, la mairie, et les Calaisiens eux-mêmes, ne l'entendent pas de cette oreille.
A Calais, des habitants empêchent la... par Europe1fr
"On a fait la police nous-mêmes". La tension est telle que lundi dernier, ce sont les riverains d'un quartier résidentiel qui ont empêché la distribution de repas aux migrants par les associations, sur un parking voisin. Gérald, l'un de ces habitants, ne voulait pas les voir "salir le trottoir". "On a fait la police nous-mêmes, et on a carrément bloqué le parking. La distribution de repas était interdite, alors on n'a pas laissé faire", tempête-t-il. "Depuis ce temps-là, on est tranquilles."
La police "nous poursuit partout". Ces distributions de repas ne sont tolérées que deux heures par jour par la préfecture, sur un seul site. Les migrants disent vivre sous la pression constante de la police. "Ils nous poursuivent tous, partout, et ils interrompent les distributions de nourriture. Ça me rend très amer car les gens qui sont ici veulent seulement avoir une vie meilleure", raconte l'un d'eux.
"Bien décidés à continuer". François Guennoc, de l'association L'Auberge des migrants, n'en démord pas : "Rien ne nous empêchera d'assurer le minimum humanitaire pour les 600 réfugiés présents à Calais". "Dans la mesure où la police nous bloque sur ces nouveaux endroits, on se déplace. On est bien décidés à continuer, car il y a une situation d'urgence et notre travail est très important pour la survie des personnes. De toutes façons, on persistera", assure-t-il.
La seule solution: que tout les pays limitrophes de la méditérannée engagent leurs marine nationale et militaire pour faire comme l’Australie: aller à la rencontre des migrants et les ramener chez eux. c’est pourtant pas compliqué !
Parfait-excellente initiative
Ce qui est étonnant, c’est qu’il n’y a pas plus de très saines réactions comme celle-ci, face à cette « submersion » migratoire et parasitaire. Calaisiens, courage, votre combat est juste, qu’il fasse école!
Je me souviens avoir vu des reportages qui suivaient ces associations…. Les réfugiés y jetaient par terre la nourriture parce qu’elle ne leur convenait pas ! Le Camp des Saints de Jean Raspail me fait de plus en plus penser à un livre « prophétique » qu’à un roman raciste comme il avait été décliné à sa sortie !
Doucement, ami Taz ! Ce ne sont pas LES Français qui ont voté pour le Jupinet de pacotille, mais 44% du corps électoral, ce qui veut dire que 56% n’ont PAS voté pour cet énergumène. Certes, 44% c’est inquiétant quant à la santé mentale d’une grosse partie de la population (idiots utiles, bobos dégénérés, abrutis devant leurs écrans plats etc…). Mais d’un autre côté il y a un fort potentiel de citoyens parfaitement opposés à l’invasion et prêts à traiter l’envahisseur comme il se doit. Et à caresser les oreilles aux « zassoc’s » qui trahissent.
Quant à dire que les gens sont « désinformés », certes : ils sont sur-informés… de mensonges et de propagande. C’est pour cela qu’une action offensive, technique et idéologique, contre les médias du Propagandastaffel est à l’ordre du jour.
Très bon début à une action qui devra prendre de l’ampleur ! Couper les vivres, couper les aides pécuniaires, couper TOUT ce qui attire comme un aimant tous ces »migrants » (envahisseurs) n’en déplaisent à nos autorités qui ne font pas leurs boulots !
Les peuples européens vont devoir se révolter et faire le travail eux – mêmes puisque ce sont leurs gouvernements qui tolèrent voire organisent l’invasion dont nous sommes les victimes. Les français ont voté pour le golem d’Attali, voilà le résultat! Il fallait être véritablement stupide pour tomber dans ce piège et pourtant les français l’ont fait, tout comme les vaudois ont réussi à élire une communiste comme ministre de leur canton! Les gens sont idiots, naïfs et désinformés!!!
Excellent ! C’est ainsi qu’il faut procéder : là où les « zassoc’s » bravent la loi, les citoyens doivent faire eux-mêmes la police. Je suggérerais même d’autres actions contre lesdites associations de malfaiteurs, mais elle ne sont pas politiquement correctes !
Quand aux clandestins, ils peuvent toujours couiner : ils sont en parfaite illégalité, ils doivent dégager, et vite !