Devant une maison typiquement suisse de Pully, les odeurs de cuisine d’Orient embaument l’atmosphère. Une invitation à franchir la porte grande ouverte de Nezha Drissi.
Depuis dix ans, elle perpétue une tradition venue des Pays-Bas qui consiste à inviter l’autre dans sa maison pour partager le repas de rupture du jeûne, l’iftar. Une démarche également entreprise par une famille de Lonay cette année.
Déconstruire les préjugés
Par la connaissance et le dialogue, les préjugés ont été patiemment déconstruits. Par exemple, les quelque 60 personnes présentes à Pully pouvaient écrire leurs questions sur un papier et le déposer dans une urne pour qu’elles soient lues devant l’assemblée.
Désolé pas de Ramadan ,mais d`accord pour les pieds de porcs ,allons tout cela n`est pas sérieux ,que ces gens retourne très vite chez eux ,car cela va dégénérer ,on est en SUISSE CHEZ NOUS QUE LES MUSULMANS SE LE DISE.
En effet mieux vaux construire des ponts que des murs pour connaître » l’autre » et sa diversité, à moins que ces ponts s’appellent » London Bridge « …..:).
On peut passer des heures et même des années à faire un travail de sape, comme le font patiemment les musulmans en Suisse, rejoignés par les medias, pour essayer de « déconstruire » et convaincre les gens qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils voient voire qu’ils ne voient pas ce qu’ils voient.
Ceci revient à convaincre les brebis que les loups sont des brebis « comme vous et moi » juste un peu plus grands et avec des dents plus pointus, et que les brebis racistes et xenophobes n’ont qu’à accepter la decision du berger de les faire entrer nombreux dans la bergerie…
Ce sont des méthodes totalitaires qui ont montré leur efficacité, mais les faits sont encore plus têtus…
D’ailleurs, ne savez-vous pas encore que Heidi, Guillaume Tell et Nicolas de Flüe ne pouvaient être que musulmans ?
Ce mois ressemble plus à une baisse de capacité de travail la journée (pour ceux qui ont un emploi) et le gueuleton la nuit.
Et notre pays ne s’est pas construit en faisant des repas au clair de la lune, les citoyens se sont retroussés les manches pour assurer leur existence dans un élan commun.
Les médias nous parlent de plus en plus de cette coutume alors qu’elle ne nous concerne en rien.
Encore quelques années de propagande et ils raconteront qu’il s’agit d’une pratique typique de notre Pays.
Malheureusement, avec l’ampleur de l’invasion islamique voulue par nos « élites » ils risquent d’avoir raison.
Moi, je pense que les mouslimes que l’on présente dans l’article sont des gens des classes aisées,( comme par hasard de Pully), de culture occidentale déjà dans leur pays.
Au collège, dans les années 60, il y avait un Iranien dans ma classe.
Père cardiologue….
Lorsque je repasse devant mon école, c’est Bamako !
Cela n’a RIEN A VOIR avec les hordes d’ incultes paresseux qui débarquent de leurs canots pneumatiques.
Cet article est du pur endoctrinement, à l’instar de ceux qui présentent des chercheurs, médecins et scientifiques en clamant » Vous voyez, tous les migrants sont capables de ça…… »
Le ramadan ne fait pas partie de la culture Suisse et ne devrait pas servir de prétexte pour « inviter l’autre dans sa maison pour partager un repas ».
Question à poser dans l’urne : « Pourquoi Mahomet incite-t-il les croyants à exterminer les koufar ? »
Je hais le verbe « déconstruire » qui ne veut plus rien dire, sinon détruire. Et quant aux préjugés, quatorze siècles de belligérance avec l’islam ont donné plutôt des leçons expérimentales que des préjugés. À moins que les attentats soient des préjugés ?
Donc cette histoire d’iftar, c’est pure foutaise. J’ai même connu (subi) un conseiller culturel Français, catholique et soi-disant « de droite » inviter des musulmans à rompre le jeûne en sa résidence de service. Ridicule, mais le plus amusant était que la plupart de ces » musulmans » étaient des marxistes athées Destouriens (dont un ministre de Ben Ali et les membres de son Cabinet). Le pauvre conseiller avait tout faux, et j’ai bien rigolé en entendant un des invités rougner : « ça manque de vin ! »