Julien Eggenberger, président du PS Vaud, veut que les Suisses financent les études aux « réfugiés »

Alors que nombre de Suisses ont dû faire des choix de vie, n'ont pas pu accéder aux universités et autres HES par manque de moyens financiers, le petit socialiste veut que le réfugié soit encore une fois privilégié (après l'accès aux soins médicaux et dentaires) par rapport à la population autochtone.

Mais cela n'étonnera personne vu le passif de ce parti helvéticophobe.

Pour sa gouverne: la Suisse ne doit strictement rien à ces gens. Mais il lui incombe, au contraire, une fonction précise: celle d'aider et de protéger son propre peuple!

Les Italiens, les Espagnols et les Portugais n'ont pas bénéficié d'un soutien financier ou scolaire et pourtant ils se sont intégrés. On voit ici à quel point le personnage tente de manipuler les Suisses en mélangeant allègrement dépenses financières hors de contrôle et intégration.

Dans la tête du PS, les Suisses ne sont là que pour travailler au profit des migrants.

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Permettre aux réfugiés de continuer leur formation

L’actualité internationale met en lumière la situation des requérants d’asile et des réfugiés et de l’aide qui doit leur être apportée. Aujourd’hui, notre pays accueille déjà de nombreux migrants dont une partie obtient un statut durable de résident. Des résidents à qui il s’agit de permettre de s’intégrer et de leur donner les moyens de vivre de manière autonome. Cela passe évidemment par une formation.

Dans notre canton, les dispositifs en place à l’école obligatoire permettent de répondre de manière globalement satisfaisante à ce défi. Au secondaire II, des améliorations sont en cours et doivent être intensifiées, notamment dans la formation professionnelle.

Certains de ces réfugiés arrivent avec un diplôme et d’autres ont dû interrompre leurs cursus. Or, confrontés à des obstacles administratifs et linguistiques souvent insurmontables, ils n’ont que très rarement accès aux hautes écoles de Suisse, en particulier lorsqu’il s’agit de terminer un cursus. Les nombreuses exigences à remplir avant de pouvoir intégrer une haute école les empêchent parfois d’accéder ou de poursuivre une formation pourtant nécessaire à leur intégration.

En effet, rares sont les réfugiés qui disposent immédiatement des preuves nécessaires à leur admission ou qui parviennent à démontrer l’équivalence de leur diplôme ou maturité. Ils peinent aussi à atteindre le niveau linguistique requis, les cours de langues adéquats pouvant être chers et peu accessibles.

Les projets d’accompagnement des réfugiés initiés dans les universités de Genève (Programme Horizons académiques), de l’ETHZ et de Bâle attestent d’un besoin. L’Université de Lausanne a déjà traité quelques situations au cas par cas. Des mesures sont possibles pour renforcer l’accès des réfugiés aux hautes écoles. A cette fin, il faut à la fois développer un programme de mise à niveau linguistique spécifique aux hautes écoles et un accompagnement, par exemple par mentorat.

La possibilité de commencer ou de terminer des études et donc d’obtenir un titre reconnu permet ensuite plus facilement de s’intégrer et de vivre de manière autonome. La société a donc tout à gagner à prendre des mesures dans ce sens. Plutôt que de dénoncer la nécessaire assistance offerte aux migrants, il semble plus judicieux de rendre plus aisée la formation, sans passe-droit, ni concession sur le niveau requis. Il faut maintenant étoffer les possibilités existantes à l’UNIL et les élargir aux autres hautes écoles vaudoises.

Le Grand Conseil vaudois aura l’occasion de s’engager dans ce sens dans le cadre de l’examen d’un postulat intitulé Faciliter la poursuite des études pour les étudiants avec statut de réfugié et leur accès aux hautes écoles.

Source

18 commentaires

  1. Posté par Tommy le

    Ba, be, bi, bo, bu.
    Papa, maman, orange, iris, usine .
    1,2,3,4, beaucoup…..
    Courage, Mamadou, dans un mois, t’es à l’EPFL !

  2. Posté par Lucas le

    Je songe de plus en plus à m’exiler de ce pays, bien que mes familles respectives y vivent depuis au moins l’an 1432! Voilà: tous ces siècles pour en arriver à l’état catastrophique dans lequel se trouve la Suisse, après quelques décennies de déconnade des bobos multiculturalistes-pseudohumanistes-gauchos-néolibéralos-droits-de-l’hommistes!

  3. Posté par Claude le

    Le PS va continuer malheureusement d’être réélu par toute cette bande d’assistés installés dans les grandes villes du canton de Vaud. Ce n’est pas par hasard que ce genre de personnage soigne son électorat. Ils sont où les immigrés soit disant bien formés (ingénieurs, docteurs, etc …) qui sont arrivés sur notre sol. C’est un SCANDALE que nos impôts soient utilisés pour ce genre de formation alors qu’ils y a d’abords NOS étudiants, doctorants, etc … qui mendient quelques bourses.

  4. Posté par Jim Droz-dit-Busset le

    Mieux, nous devrions favoriser l ouverture de plus de centres de soins pour attardes mentaux en vue d y envoyer ce genre de macaques de toute urgence !

  5. Posté par Vengeur le

    Adresse, numéros de téléphone, lieu de travail (si il en a un) afin de lui rendre la vie intenable et invivable….

  6. Posté par BONARDO le

    Encore un grand malade ,il faut venir en aide à ce triste personnage ,mais pour nous les Suisses:
    Que devons nous faire . PARTIR DE NOTRE PAYS ??

  7. Posté par Olivia le

    La maladie mentale est un phénomène tragique! Le PS est devenu un hôpital psychiatrique!

  8. Posté par UnOurs le

    Le pire, c’est que ces socio-traîtres ne connaissent même pas leurs classiques, Marx ne disait-il pas, et très justement, que « l’immigration était l’armée de réserve du capital. »

  9. Posté par Aude le

    Il paraît que l’on a besoin de main d’œuvre…alors au boulot..
    Ah oui…bien sûr….Les Suisses doivent faire des petits boulots pour payer leurs études…..
    Alors idem pour ses petits chéris…Non mais c’est fort de café….
    Les socialos divaguent complètement!!

  10. Posté par UnOurs le

    P… de social-traître !

  11. Posté par G. Vuilliomenet le

    Ah! J’ai lu qu’il était au PS, le parti des SALAUDS. D’ailleurs, il n’y a pas que dans ce parti que nous trouvons des SALOPARDS, même à droite.

  12. Posté par Marcassin le

    Un ami, informaticien, s’est expatrié au Brésil il y a quelques dizaines d’années.
    Lieu d’accueil : un camp où il était hors de question de sortir.
    Durée 6 mois pour trouver un travail, après expulsion.

  13. Posté par Bussy le

    « Ils peinent aussi à atteindre le niveau linguistique requis » : s’ils peinent à apprendre le français alors qu’ils n’ont rien d’autre à faire, ont-ils le niveau pour suivre une formation dans une université ou HES ?
    Et est-ce que les étudiants suisses et européens ont des cours de mise à niveau linguistique spécifique aux hautes écoles ?
    Ou n’est-ce pas plus simplement que l’industrie de l’asile développe de nouveaux marchés, entre autres avec les écoles de langues ?

  14. Posté par Alain le

    C’est comme à Vallorbe …
    Un appart trop cher pour les Suisses … eh bien on y a mis une famille Syrienne dans ce quatre pièces.

  15. Posté par Peter Bishop le

    Je n’ai pu aller que jusqu’a ES, n’ayant pas les moyens d’aller plus loin. Ce gauchiste veux bien me payer le H manquant ? 2 ans d’études à temps plein + le coût de la vie, j’en ai pour 150’000 CHF… Et en cours du soir sur 4 ans en travaillant, 50’000 CHF…

  16. Posté par Le Taz le

    Je suis désolé, mais plus on entend les conneries des socialistes, plus on trouve des circonstances atténuantes à Anders. Le mec il devait être branché 24 sur 24 sur une chaîne de radio étatique, il vivait seul, il a pété un câble. Je lance ici un appel solennelle, que cela soie la RTS ou la RSR, pas plus de 2 heures par jour maximum. Ça devrait être écrit sur la boîte! En Norvège ils ont découvert qu’il y avait des effets secondaires. Même chose pour Arte, j’ai déconné avec Arte, 3 heures par jour durant 3 semaines, je commençais à marcher au pas de l’oie à la descente du lit, j’ai arrêté tout de suite, mais j’ai eu chaud.

  17. Posté par Le Taz le

    Euh, va te faire empapayouter chez les bouffeurs de pistaches. Ça lui irait comme réponse?

  18. Posté par Sergio le

    On aura éradiqué la variole et la peste, mais nous resterons les vecteurs de la pire des calamités, le socialisme. Cette plaie incurable et indigne n’a pour vocation que la destruction de nos sociétés.

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