Suède. Uppsala: Seulement 18,5% des filles se sentent en sécurité, elles sont harcelées par des « groupes d’immigrés »

Le site de nouvelles Friatel a rapporté une enquête menée auprès de 3,900 jeunes dans la ville suédoise d'Uppsala, qui a constaté que seulement 18,5% des filles de lycée se sentent en sécurité à l'extérieur dans le centre d'Uppsala. En 2013, c'était 45%.

Le résultat de l'enquête est appuyé par Daniel Larsson, le commissaire à la police d'Uppsala, qui déclare qu'il a donné des règles strictes à ses propres filles adolescentes, leur interdisant d'aller en ville ou dans le centre commercial le soir. Les responsables du sentiment d'insécurité sont clairs:

"Des garçons immigrés en groupes attaquent des filles suédoises. (...) Ils sont plus agressifs lorsqu'ils ont affaire à des filles ".

 

Dans une interview avec le journal UNT, Larsson a souligné que ses filles l'ont appelé à plusieurs reprises, se plaignant d'être suivies par des migrants.

Il n'est pas le seul. D'autres parents interdisent plus ou moins à leurs filles de rester dans le centre commercial. L'un d'entre eux, Sten Widmalm, déclare que ses filles ont été pourchassées et tenues par de jeunes migrants mais qu'elles ont heureusement réussi à s'enfuir.

Dans le but d'accroître la sécurité, la municipalité d'Uppsala a organisé une force de sécurité pour patrouiller et a installé des caméras de surveillance dans le centre commercial. Erik Pelling, membre du Conseil pour les sociaux-démocrates, a déclaré qu'il pense qu'il est terrible que tant de filles se sentent en insécurité et espère que les nouvelles mesures, introduites en juillet, aideront.

Toutefois, il n'est pas question de réduire l'immigration. Uppsala a accueilli de nombreux soi-disant «mineurs non accompagnés» ces dernières années.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

13 commentaires

  1. Posté par maury le

    La Suède est-elle un État Failli ?

    par Judith Bergman
    9 août 2017

    Traduction du texte original: Sweden: A Failed State?
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    L’Etat suédois, en parfait acteur orwellien, a choisi de combattre les citoyens qui pointent les problèmes posés par les migrants.

    Quand l’agent de police Peter Springare a déclaré en février que les migrants commettaient un nombre disproportionné de délits dans les banlieues, il a fait l’objet d’une enquête pour incitation à « la haine raciale ».

    À l’heure actuelle, un retraité suédois de 70 ans est poursuivi pour « discours de haine », parce qu’il a écrit sur Facebook que les migrants « mettent le feu aux voitures, urinent et défèquent sur la voie publique ».

    La situation sécuritaire de la Suède a atteint un tel seuil critique que le chef de la police nationale, Dan Eliasson, a lancé un appel à l’aide à la population. Comme si la police paraissait incapable de répondre seule aux problèmes qui sont de son ressort. Le rapport de police intitulé « Utsatta områden 2017 », (« Zones vulnérables 2017 », plus couramment appelées « no-go-zones » ou « zones de non droit ») publié en juin, révèle en effet que le nombre de ces zones est passé de 55 à 61 en un an.

    En septembre 2016, le Premier ministre Stefan Löfven et le ministre de l’Intérieur Anders Ygeman sont restés sourds aux signaux d’alerte : en 2015, 14% seulement des délits commis en Suède ont été résolus et, en 2016, 80% des policiers se sont posé la question de changer de métier. Les deux ministres ont refusé de considérer ces données comme une crise. Selon Anders Ygeman:

    « … nous vivons une période très difficile, mais parler de crise est disproportionné … la situation est très tendue mais cela s’explique par l’ampleur des réformes qui ont été engagées, les plus importantes depuis les années 1960, dans un contexte très particulier. En effet, nous avons dû accueillir un flux de réfugiés comme on n’en a pas connu depuis la Seconde Guerre mondiale, nous avons également dû restaurer les contrôles aux frontières pour la première fois depuis 20 ans et la menace terroriste est allé croissant ».

    Un an plus tard, le chef de la police nationale suédoise qualifie la situation de « grave ».

    En 2015, 14% seulement des délits commis en Suède ont été résolus. En 2016, 80% des policiers ont envisagé de changer de métier. Néanmoins, le Premier ministre Stefan Löfven (photo ci-dessus) a refusé de parler de crise. (Photo de Michael Campanella / Getty Images)

    La Suède ressemble de plus en plus à un état failli : dans les 61 « no-go-zones » recensées, près de 200 réseaux criminels sont en activité qui mobilisent environ 5 000 criminels. Vingt-trois de ces zones de non droit présentent une situation critique : des enfants de moins de 10 ans sont impliqués dans des crimes graves – armes et trafic de drogue -, et sont formés pour devenir des criminels endurcis.

    Le problème déborde le crime organisé. En juin, la police de Trollhättan, occupée à réduire une émeute dans le quartier de Kronogården, a été attaquée par une centaine de jeunes migrants masqués, principalement des Somaliens. Les émeutes ont eu lieu durant deux nuits consécutives.

    Le risque sécuritaire suédois ne se borne pas aux violences urbaines. En 2010, le gouvernement suédois estimait n’abriter sur son territoire « que » 200 islamistes radicaux. En juin, le chef du service de sécurité (Säpo), Anders Thornberg, a déclaré aux médias que la Suède affrontait un défi « historique » dû à la présence de milliers « d’islamistes radicaux ». Selon la Säpo, les djihadistes et leurs partisans se concentrent principalement à Stockholm, Göteborg, Malmö et Örebro. « C’est la « nouvelle norme… » Le nombre des extrémistes va croissant, c’est un défi historique », a déclaré Thornberg.

    L’establishment suédois ne peut s’en prendre qu’à lui-même.

    Thornberg a affirmé que la Säpo reçoit environ 6 000 renseignements par mois concernant le terrorisme et l’extrémisme, contre 2 000 par mois en 2012.

    Les raisons de cette augmentation tiennent à la ségrégation des populations dans les no-go zones affirme Magnus Ranstorp, expert du terrorisme à l’Université suédoise de la Défense :

    « … les extrémistes ont pu recruter en toute tranquillité … les mesures de prévention ont été quasi inexistantes … si l’on compare le Danemark et la Suède, le Danemark est au niveau universitaire et la Suède au niveau de la maternelle ».

    Interrogé sur les mesures que le gouvernement comptait prendre pour faire face à l’accroissement du risque terroriste, le ministre de l’Intérieur, Anders Ygeman, a déclaré au journal suédois TT :

    « Il n’y a rien de particulier à dire. D’autres pays en Europe sont dans la même situation. J’insiste sur le fait que les mesures adéquates ont déjà été prises. Nous avons un centre permanent de lutte contre l’extrémisme violent, le budget de la lutte contre le radicalisme a été augmenté, ainsi que le budget de la police chargée de la sécurité depuis trois ans ».

    Il n’est pas exclu que la Sapo sous-estime elle aussi le risque terroriste. En 2015, quand la Suède a accueilli plus de 160 000 migrants, 14 000 d’entre eux ont eu leurs dossiers rejetés. Mais au lieu d’être expulsés, ils ont disparu sans laisser de traces. Fin avril 2017, 10 000 étaient toujours manquants. La police des frontières suédoise ne compte que 200 fonctionnaires susceptibles de mener des recherches. En avril 2017, Rakhmat Akilov, un « migrant disparu » en provenance d’Ouzbékistan a défoncé au volant d’un camion les vitrines d’un grand magasin de Stockholm, tuant quatre personnes et en blessant beaucoup d’autres. Il a déclaré avoir agi pour le compte de l’État islamique (ISIS).

    La Suède a aussi accepté le retour des djihadistes partis combattre en Syrie pour le compte de l’Etat islamique, un choix généreux qui n’améliore guère la situation. 150 combattants sont revenus, 112 sont encore à l’étranger – les plus extrémistes – mais la Suède pense qu’ils finiront pas revenir. Curieusement, le gouvernement suédois a fourni des identités de substitution aux rapatriés de l’Etat islamique, apparemment pour les protéger de la curiosité de la population. Deux Suédois partis combattre en Syrie, Osama Krayem et Mohamed Belkaid, ont, le 22 mars 2016, participé aux attentats de l’aéroport de Bruxelles et de la station de métro Maelbeek, au centre de Bruxelles. Trente et une personnes ont été tuées, 300 autres blessés.

    Selon les médias, les villes suédoises reçoivent ces rapatriés sans savoir qu’il s’agit des combattants de l’Etat islamique. Une coordinatrice d’un groupe de lutte contre l’extrémisme islamiste à Stockholm, Christina Kiernan, affirme qu’ « … aucun contrôle n’est exercé sur ceux qui reviennent des zones de combat de l’Etat islamique ».

    Kiernan explique que des règles ont été instaurées pour empêcher que les informations de la Säpo sur le retour des djihadistes soient transmises aux municipalités. La police elle-même ignore l’identité et le nombre d’ex-djihadistes installés dans chaque région. Aucune mission de surveillance n’est possible, alors que la Säpo évalue en milliers le nombre des islamistes radicaux.

    L’Etat suédois, en parfait acteur orwellien, préfère réprimer les citoyens osent regarder en face les problèmes évidents que posent les migrants. Quand l’agent de police Peter Springare a déclaré en février que les migrants commettaient un nombre de délits disproportionné dans les banlieues, il a fait l’objet d’une enquête pour incitation à « la haine raciale ». À l’heure actuelle, un retraité suédois de 70 ans est poursuivi pour « discours de haine » : il avait écrit sur Facebook que les migrants « mettent le feu aux voitures, urinent et défèquent dans les rues ».

    Compte tenu des milliers de djihadistes présents sur son territoire, la Suède n’a-t-elle rien de plus urgent que de poursuivre un retraité pour ses propos sur Facebook ?

    Judith Bergman est chroniqueuse, avocate et analyste politique.

  2. Posté par miranda le

    @ CLAIRE
    oui les bien pensants mondialistes et surtout CEUX DES HAUTEURS, le très haut degré aux USA savourent ce qui arrive à l’Europe. Ils veulent la soumettre.

    Tout comme ils ont soumis les états d’amérique du Sud. Ne disaient-ils pas ces derniers temps qu’ils allaient s’occuper du VENEZUELA. Ils s’en sont occupés n’est-ce pas?

    Il se peut que les hommes Européens se réveillent contre ces barbares et se constituent en milices, un jour , comme cela se passe dans les pays où la police est quasi inexistante ou incompétente. Le citoyen défend lui-même sa peau sinon c’est la mort réelle ou la mort lente par la destruction de ton moral.

    Il m’arrive de me demander si pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il ne va pas y avoir une guerre femmes-hommes (je parle des hommes barbares que nous accueillons).

    Toutefois, je serais maman aujourd’hui, j’inscrirais immédiatement ma fille au KARATE.
    Car c’est ce qui a empêché le viol de la fille d’une amie : elle a mis a terre un « barbare venu d’ailleurs » pressé de la consommer. Il n’en revenait pas l’individu.

  3. Posté par Jiff le

    Je trouve au contraire que c’est une excellente façon idée que d’envoyer les filles au centre commercial; à l’âge où l’on commence à intéresser les garçons et la moitié de leur vie passée à apprendre le combat de rue, quelques expériences sur le self-control physique et mental agrémentées d’une petite étude sur la solidité de certains os et la sensibilité de certains points vitaux ne peuvent que leur être bénéfique, tant d’un point de vue entraînement que du point de vue des sciences naturelles.

    @Loulou « Des malades mentaux. »

    En plus de ceux-ci, ceux que vous citiez juste au-dessus n’ont même pas le porte-bagage (comprenne qui pourra et recherchera migrants & iq dans différentes langues.)

  4. Posté par Claude le

    Si 18.5% se sentent en sécurité; le complément à 100% donne 81.5% qui se sentent en INSÉCURITÉ !! Il y a URGENCE !! On mobilise l’armée et on EXPULSE à vie toute cette racaille.

  5. Posté par Marie-France le

    Ma foi, les parents de ces filles n’ont qu’à se remuer un peu et protester, manifester…et voter autrement..

  6. Posté par Loulou le

    Amusant, nos gauchistes ne nous présentent plus la Suède comme Le paradis socialiste progressiste rayonnant depuis 2-3 ans. En fait ils agissent toujours de la même manière: dotés d’une intelligence limitée, rongés par le dogme et faisant preuve d’une absence totale de bon sens, ils nous vendent leur merde progressiste. Ensuite, lorsque la vérité éclate, que le tapis n’absorbe plus la merde qu’ils mettent dessous, on ne les entend plus. Sans honneur, sans aucune faculté pour mener une autocritique.
    – Les « réfugiés fuyant la guerre »: à 95% des clandos
    – Des Syriens: à 95% des Africains, des Bengladais, des Pakis et des Afghans. Sans parler des Algériens-Tunisiens-Marocains
    – Ce sont des familles: à 95% des hommes seuls
    – Ils sont super diplômés, ingénieurs, profs, physiciens: 90% ne sont jamais allés à l’école ou l’on arrêtée avant 10 ans.

    Des malades mentaux. J’espère voir Le jour où nous pourrons les traiter avec le traitement adéquat.

  7. Posté par colt seavers le

    la Suède devient inhabitable et ils continuent a en faire rentrer ? les politiciens continuent a vivre dans un aveuglement

  8. Posté par Peter Bishop le

    Je n’ai aucune compassion pour les nordiques : ils ont choisi ce qui leur arrive ! Ils ont voté pour les gauchistes, embrassé toutes les « avancées » sociétales, systématiquement défendu l’immigration-invasion… Non, vraiment, aucune compassion !

  9. Posté par Loulou le

    Claire, la France a aussi colonisé la Suisse. Ce n’est pas pour cela que nous chialons, envahissons votre pays en y pondant des lardons revanchards par paquets de 10 ou que même nous vous en tenons la moindre rancoeur. Le problème est donc ailleurs.

  10. Posté par Loulou le

    Les conséquences économiques vont bientôt se faire ressentir durement: plus de shopping, plus de sorties au restau, plus de cinéma. Y aller en taxi? Vous êtes fous, avez-vous vu qui conduit les taxis??! Tout cela finira de deux manières: notre soumission ou l’extermination des envahisseurs. Mettez vos enfants en salle de combat, comme les miens. Vos gosses font du tennis? Pas de bol…

  11. Posté par Claire le

    En France, on n’arrête pas de nous culpabiliser en nous parlant de notre passé colonial (comme si l’on n’avait apporté que des choses négatives, quid des écoles, des hôpitaux, des routes?). Donc si nous sommes envahis, ce n’est qu’un juste retour des choses et il faut nous repentir!…
    Mais la Suède? Quel pays africain et/ou musulman a-t-elle envahi pour payer le prix fort que ses jeunes filles paient actuellement? Ou bien elle restent enfermées et c’est donc la loi de la sharia, ou elles sortent et elles se font agresser, voire violer.
    Il est scandaleux qu’au nom des « droits de l’homme » les bien-pensants mondialistes immigrationnistes sacrifient leurs propres enfants. Mais après tout ce ne sont que des femmes et les droits de l’homme sont en fait les droits de ces hommes barbares qui considèrent les femmes comme des « champs de labour » (CF le coran).

  12. Posté par coocool le

    Les parents de ces adolescentes ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes de voter socialiste… Leurs filles en subiront les conséquences.

  13. Posté par Marcassin le

    Si on continue comme ça, toutes les filles à la maison, il ne restera plus qu’à les bâcher.

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