Un jeune homme a été interpellé après l'agression de policiers à Aulnay-sous-Bois, dans la cité des 3 000, où avait éclaté l'«affaire Théo». Un taser et un lanceur LBD40 (comparable au flash-ball) auraient été dérobés et n'ont pas été retrouvés.
La police a placé en garde à vue un suspect âgé de 18 ans dans le cadre d'une affaire d'agression sur des policiers survenue le 17 août à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Trois agents de la police locale se sont vus agressés, un lanceur de balles de défense et un pistolet à impulsion électrique leur ont été dérobés. Les armes n'ont toujours pas été retrouvées.
Une source proche de l'enquête citée par l'AFP a donné les détails de l'agression des agents. Le 17 août vers 18h, un équipage de trois policiers locaux a voulu procéder au contrôle d'identité d'un jeune homme dans un secteur susceptible d'être un «point de deal» dans la fameuse cité des 3000, où a éclaté en février l'«affaire Théo», qui a engendré plusieurs nuits de violences urbaines dans le quartier. L'individu suspect a refusé d'obtempérer au contrôle d'identité et aurait porté un coup au visage d'un des fonctionnaires avant de prendre la fuite, poursuivit par deux des trois agents présents.
Deux des trois agents sont alors partis à sa poursuite, laissant la troisième fonctionnaire en sécurisation de leur véhicule. Cette dernière a à son tour été prise à partie. Une "trentaine de personnes" se trouvaient près de son véhicule.
"Certains tentent de lui porter des coups" et l'un d'entre eux en profite pour s'emparer de deux armes qui se trouvaient dans le véhicule: un LBD40 qui, comme le flash-ball, tire des balles en mousse ou en caoutchouc, et un pistolet à impulsion électrique de type Taser", a rapporté la source policière.
"L'individu a tiré à une reprise avec le LBD40 contre le véhicule de police que la fonctionnaire avait pu regagner", a poursuivi la source proche de l'affaire.
L'enquête a été confiée au commissariat d'Aulnay-sous-Bois.
Nos remerciements à
POSITION TOTALEMENT HYPOCRITE DE LA PART DE CE GOUVERNEMENT
Il y a longtemps que ce scénario se répète et se répète sur des années et des années et que l’on connnait les 3000 racailles qui font la loi dans l’ensemble des cités.
Parce qu’il semble que ce soit un soulagement pour le gouvernement de les laisser faire « leur petit commerce » . En effet ces « voyous font du « social » en donnant par ci, par là un peu d’argent de poche aux uns et autres de « condition modeste ».
Et puis aussi, le gouvernement se veut respectueux de la « condition musulmane » dans les cités, ce qui plait fort bien à l’Arabie saoudite qui à son tour donne de l’argent de poche au gouvernements successifs.
LA BOUCLE EST BOUCLEE.
Je constate qu’on envoie au casse-pipe 3 braves fonctionnaires débonnaires … C’est l’ARMÉE qu’il faut envoyer dans ces »No Go Zone » ou ZUS (Zone urbaine sensible) contre cette trentaine de racailles qui s’auto-alimentent en armes non létale gratuitement … ridicule !
Dans un quartier » sensible » comme ils disent, on ne laisse pas un(e) collègue seul(e) ils savent qu’il y a toujours dans le coin, les copains et les cousins des sensibles prêts à en découdre quand ils sont dérangés dans leurs petits trafics.
Tant que les forces de l’ordre n’auront pas le droit de tiré dés qu’ils sont attaqué, les E***és ce croiront tout permis. Ne parlons pas des familles qui sont toujours les mêmes pront a utiliser la presse pour dénoncer la riposte des forces de l’ordre alors que ce sont leurs frères, leurs pères qui ont agresser les représentants de l’ordre. force doit rester a la loi . Pas content expulsion systématique de toute la famille.
C’est quoi ces policiers qui ne savent pas se défendre? Et qui se laissent dérober leurs armes?
A quoi ça sert de leur fournir des armes non léthales qu’il préfèrent ne pas utiliser? Pareil pour les militaires. Du grand n’importe quoi en période d’état d’urgence. Ah, il est loin le temps de la peur du gendarme!
« Deux des trois agents sont alors partis à sa poursuite, laissant la troisième fonctionnaire en sécurisation de leur véhicule. »
Je traduis: « bon, ça devient sérieux; on peut pas emmener Josiane. »
« Josiane, tu gardes la kangoo. »
Sans vouloir peindre le diable sur la muraille, l’état d’urgence décrété officiellement ressemble bougrement à un état de guerre…
Qui a voté Macron?
BANDE DE CRÉTINS!
J’ai une amie à Lyon qui a voté pour Macron alors que je l’avais durement informée sur le personnage, je ne lui adresse plus la parole! Pas possible d’être aussi con!