Deux détenus invités à déjeuner avec le pape se font la malle !

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Cela fait désordre !

Deux prisonniers invités à déjeuner, le dimanche 1er octobre dernier, avec le pape François à l’intérieur de la basilique de Saint-Petronio de Bologne, ‒ eh oui la Maison du Seigneur a été reconvertie en cantine pontificale, mais verriez-vous une mosquée devenir un réfectoire ? ‒, ont profité de cette plaisante occasion pour se faire la malle, le pape, les membres de la Curie, l’organisation et les forces de l’ordre s’étant fait avoir bellement. Ils ont su déjouer la surveillance des organisateurs et ont pris la poudre d’escampette.

Mais qui se serait imaginé que des détenus préférassent s’enfuir plutôt que de rester en compagnie du pape des pauvres en visite pastorale dans la capitale de l’Émilie-Romagne ? L’embarras est tellement grand que les faits qui remontent à plus d’une semaine n’ont été connus que mercredi 11 octobre.

Les deux évadés, des Napolitains, dépendaient de la Maison du Travail et Réclusion de Castelfranco Emilia, de la région de Modène, une structure pour la réinsertion sociale alternative à la prison divisée en deux sections : celle pour les toxicomanes et celle pour les « internés » c’est-à-dire les sujets soumis à une mesure de sûreté parce que socialement dangereux. Les deux hommes disparus dépendaient de cette section et la mesure envers eux avait été réitérée plusieurs fois. Au total ils étaient une vingtaine de prisonniers à être reçus à la table du pape d’où le porc avait été exclu par respect pour les diverses religions des détenus. Ils étaient accompagnés par leur aumônier et les volontaires-éducateurs de la paroisse. Après l’Angélus, lorsque est arrivé le moment de déjeuner, les accompagnateurs se sont aperçus qu’il manquait deux personnes à l’appel, partis on ne sait où !

Quand ils ont enfin percuté que les Napolitains avaient disparu volontairement, ils n’ont plus eu le choix que de prévenir la police.

Les deux prisonniers ont du trouver que la miséricorde bergoglienne avait vraiment du bon ! Le gouvernement italien a peut-être trouvé la plaisanterie moins à son goût : il n’est pas certain que le pape François pourra, de sitôt, refaire des selfies avec des détenus en-dehors de leur prison…

Francesca de Villasmundo  

 

Extrait de: Source et auteur

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10 commentaires

  1. Posté par berset georges le

    D’ici quelques temps.le pape fera des selfies avec les malheureux à la soupe populaire!On commence à y habituer les gens du côté de Genève!

  2. Posté par Dominique Schwander le

    Avec ce pape politicien de gauche, le catholicisme perd toute spiritualité et se soumet aux juges-droits-de-l’hommistes et à l’islam-idéologie!

  3. Posté par kitty le

    Une vingtaine de prisonniers et le porc a été exclu ….et 2 prisonniers dans la nature.

  4. Posté par Sergio le

    MDR. Voilà ce qui arrive quand on vit dans un monde parallèle et que l’on a perdu tout sens des réalités. Pauv’ faux pape !

  5. Posté par butterworth le

    LE PORC toujours le porc UN des aliments interdits par l islam idem corbeau escargots requin ect ect voir web interdits alimentaires en islam attentat sur une mosquee 12 escargots retrouves sur le mur une abomination

  6. Posté par Grégoire le

    Je m’esclaffe de rire: quel magnifique tableau de connerie humaine des uns et des autres! Il n’y en a pas un pour racheter l’autre, mais les plus malins ont quand-même été les criminels!

  7. Posté par UnOurs le

    Ensuite, ils ont fait quoi ?
    Joué aux cartes sur l’autel ?

  8. Posté par Aude le

    Faire ripailles au coeur d’une Basilique, lieu de prières et de recueillement, c’est l’histoire des vendeurs du Temple.
    Le Christ les chassât à coup de fouet. Ce Pape se permet tout soit disant au nom du Christ!
    Pour le reste, la police doit apprécier.
    Une compassion mal placée est toujours récompensée.

  9. Posté par Vautrin le

    AH ! AH ! AH ! Voilà où mène la naïveté ! Il ne manquera plus que les deux évadés perpètrent quelque sagouinerie pour que le tableau soit complet ! Si j’étais catholique, je devrais crier : « Bergolio, démission ! »

  10. Posté par Sertorius le

    ‘Mais qui se serait imaginé que des détenus préférassent s’enfuir plutôt que de rester en compagnie du pape des pauvres en visite pastorale dans la capitale de l’Émilie-Romagne?’

    Eh bien le Pape avant tout car il n’imaginerai pas Barabas ayant insister de rester avec Jesus quand il fut pardoner par la foule et Pilate.

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