En 2016, les caisses maladie ont versé plus de 500 millions de francs en commissions. La pratique influence les dépenses administratives dans les assurances de base.
Les commissions pour conclusions de polices d'assurances flambent dans les caisses maladies. Cette pratique sert à rémunérer les courtiers. Problèmes: ces commissions influencent les dépenses administratives des assureurs, comme l'a calculé le service de comparaison Moneyland.
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@Bussy, Vous avez bien compris. Et j’ajoute qu’avec la migration que nous connaissons les 4 à 6 % annuel de hausse ne va pas s’arrêter. Merci la pianiste ! Et tout le monde des responsables s’en fout. Le but n’est-il pas d’appauvrir la population !
Et la publicité débile à la TV (Helsana, Atupri), sachant que ça coûte très cher, c’est payé par qui, le bon Dieu ? Et les nombreux avantages dont bénéficient les employés de ces « chères » assurances (et y’en a pas mal….) c’est payé par qui tout ça ? Voilà encore une belle super arnaque et personne n’a l’air de s’en offusquer….
Si je comprends bien, avec une caisse unique, on économiserait ces 500 mios, non ?
On nous raconte que l’augmentation moyenne est de 5 % , pour moi et ma femme ça nous fait 10,2 %, sans excès, sans soins privés, tout simplement en chambre commune, plus 500 frs de franchise chacun et bien sûr le 10% sur les médicaments, et au 1er Janvier de chaque année ça repart à zéro.
Pas mal, pour des retraités AVS ???? Ah, je voulais dire pour des moutons qui ont encore un peu de laine sur le dos.
Ces dépenses injustifiables sont honteuses. Qu’il est loin le temps des mutuelles et du volontariat de leurs employés dans les communes.
Lorsqu’une tâche publique (caisse maladie obligatoire) est confiée à des privés, il n’est pas acceptable de laisser à ces derniers le soin de définir qu’elles sont ses frais administratifs pris en compte.
Ils devraient être pris en compte forfaitairement et si le privé estime qu’ils sont insuffisants, cela relève de sa gestion et, cas échéant, qu’il se retire du marché.
De plus, un privé qui assume une tâche publique ne devrait pas pouvoir exercer une autre actvité lucrative.