Joshua Sutcliffe, 27 ans, a été convoqué par la direction de son école publique secondaire dans l’Oxfordshire, en Angleterre. Il a ensuite été suspendu, pour avoir dit « Beau travail, les filles ! » à une adolescente et son amie en voyant qu’elles travaillaient d’arrache-pied sur des exercices de mathématiques. L’adolescente en question, une fille qui se dit garçon, avait rectifié. L’enseignant de mathématiques s’était excusé sur-le-champ de l’avoir « mal genré ».Mais la mère de l’enfant s’étant plainte par la suite aux responsables de l’école. Sutcliffe a dû s’expliquer six semaines après l’« incident ». Une enquête est en cours et il risque désormais l’exclusion pure et simple et de perdre son emploi (et son salaire de 50 000 $ par an).
Joshua Sutcliffe ne se cache pas d’être chrétien ni d’avoir quelques difficultés à utiliser des pronoms masculins quand il parle à cette jeune élève. Cependant, aucune instruction officielle n’avait été donnée sur la manière de s’adresser à l’élève. Dans un esprit de « respect et de tolérance », il avait décidé avec d’autres membres du corps enseignant de s’adresser à cette fille au moyen de son prénom masculin qu’elle avait choisi.
Sutcliffe a décidé de parler de l’affaire dans la presse pour annoncer notamment qu’il doit se rendre à une convocation disciplinaire formelle cette semaine. Il devra y répondre d’une accusation de faute professionnelle pour avoir « mal genré » son élève. Selon le Mail on Sunday, un autre grief porte sur le fait qu’il s’est adressé à l’élève par son prénom plutôt qu’en se référant à cette jeune fille par le pronom masculin qu’elle préfère (« il » ou « lui »).
Le jeune professeur, diplômé de troisième cycle en mathématiques et habilité à enseigner grâce à un diplôme obtenu à l’université d’Exeter, s’est dit bouleversé par la situation : « C’est du politiquement correct devenu fou », a-t-il déclaré.
Il n’avait aucune idée, a-t-il expliqué, de ce qui lui pendait au nez lors de la réunion de parents d’élèves qui s’est tenue la semaine dernière. À l’issue de celle-ci, le directeur de l’école lui a annoncé qu’il faisait l’objet d’une « plainte transgenre ». Il n’a plus le droit d’enseigner tant que l’affaire n’aura pas été réglée. En attendant la séance disciplinaire de cette semaine, Sutcliffe a été sommé de venir travailler dans la salle des professeurs, avec interdiction totale toutefois de parler de cette affaire avec ses collègues.
L’origine de la plainte pourrait bien être double. Les parents de l’élève transgenre ont insisté pour dire qu’ils étaient pour la liberté d’expression, mais qu’à leur avis, Sutcliffe avait fait de leur enfant sa tête de Turc et qu’il avait multiplié injustement les colles pour mauvaise conduite à son encontre. L’enquête a permis de vérifier qu’il n’en était rien. Seule la plainte pour l’avoir « mal genré » qui a été maintenue.
« J’ai été totalement choqué d’apprendre de la part du directeur que je faisais l’objet d’une enquête. Je ne savais pas ce qui m’arrivait. C’était surréaliste, kafkaïen. J’ai fait observer qu’un seul incident était en cause, et que je m’étais excusé. Mais il a insisté pour poursuivre l’enquête… Il m’a semblé que l’école essayait de m’obliger à adhérer à sa politique progressiste, gauchiste », a déclaré le professeur à la presse.
Entretemps, l’Église d’Angleterre instruit les écoles qu’elles doivent laisser les enfants « explorer leur identité de genre » dans des lignes directrices qu’elle a fait parvenir à ses 5 000 écoles. L’Église anglicane, tant en Angleterre qu’au Québec est en pleine vrille mortelle, son nombre de fidèles est en chute libre en Occident, nettement moins en Afrique où elle est nettement plus conservatrice.
Sources : Mail on Sunday et Premier, The Independent
Voir aussi
La croisade des LGBTQ2SAI+ contre la liberté d’expression et les distinctions linguistiques immémoriales (les pronoms genrés et Jordan Peterson à Toronto)
Citation relativiste contradictoire du jour (évêque anglican de Washington à la conférence de Lambeth des prélats anglicans)
Les plus religieux hériteront-ils de la Terre ? (Peut-être bien, s’ils parviennent à instruire et éduquer leurs nombreux enfants, plutôt que des gens opposés à leurs valeurs)
Extrait de: Source et auteur
Et après on s’étonnera que des enseignants socialistes tâtent la marchandise d’un peu trop près pour s’assurer de l’identité sexuelle des élèves. C’est dans tous les cas une suggestion pour le conseil municipal de Genève qui manque de sérieux et de pratique en la matière. http://lesobservateurs.ch/2017/11/15/geneve-annick-ecuyer-communiste-devient-la-premiere-conseillere-municipale-transgenre/ Il ne reste plus à annik qu’à se faire niker par les membres pas toujours virils du Conseil municipal qui ne manque pas de désaxé(e)s.On fait comment pour accorder avec les trans ?
Société de tarés…
Il ne reste plus qu’à tirer la chasse.
Ielle a eu tort, bien sûr!
La police de la Connerie à de nouveau frappé ! J’espère que les collègues de cet enseignant le soutiendront, mais c n’est pas certain.
Il serait aussi intéressant de mesurer le QI de la mère. Certainement zéro.
Et ce n’est pas tout dans cette affaire que Joshua Sutcliffe qualifie à juste titre de kafkaïenne. Cet enseignant qui se proclame ouvertement chrétien avait aussi créé au sein de l’école un club d’études bibliques ouvert à tous les élèves. La direction n’a jamais apprécié cette initiative, laquelle n’est peut-être pas étrangère à l’acharnement que manifeste l’école vis-à-vis de cet enseignant. Selon Sutcliffe, dans l’Angleterre actuelle, les chrétiens qui s’affirment comme tels sont de plus en plus marginalisés, voire moqués.
(source: RTUK)
La gamine devrait consulter un psychiatre, et la direction de l’école aussi. Il y en a marre de ces délires généristes, et comme le dit le malheureux prof : » C’est du politiquement correct devenu fou ». Oui, tout cela est nettement pathologique !