Sujets abordés par Uli Windisch:
- la soumission relative de la Suisse par rapport au sursaut grec,
- les clandestins qui arrivent en masse en Europe,
- la nécessité de remèdes expéditifs en lieu et place des craintes et autres peurs
propos recueillis le 7 juillet 2015
Le IIIème Reich a commencé uniquement parce que l’élu grec n’est pas « bien pensant ».
Le dette énormissime de l’Allemagne, dont les grecs sont créanciers, a été rayée sans quoi elle n’aurait pas pu se construire. Oublie-t-on aussi les pillages des nazis en Grèce ?
Si j étais la Suisse, je m éloignerais très vite de l’Europe, fini les bilatérales ! Fermons nos frontières, de toutes les façons, les multinationales ou les bilatérales n’ont jamais augmenté le pouvoir d’achat des résidents . Au contraire, les loyers augmentent à cause des multinationales, les frontaliers nous pillent nos jobs et alimentent le dumping salarial.
Normal, on laisse faire. Battons nous pour nos enfants, nos parents.
Tsipras est un homme courageux même si je ne partage pas ses idées. Ici, on doit se battre aussi contre la dictature de l’Europe dictée par l’Allemagne. Alors stoppons tout avant qu’il ne soit trop tard.
En AUCUN cas (sic), il faut prendre le peuple grec comme un exemple à suivre.
Le gros problème de la Suisse: Le qu’en dira-t-on?!!! Or, quand on a rien à se reprocher on se fiche du qu’en dira-t-on!
J’adhère à 1000% à ce que dit Uli Windisch. J’ai également dénoncé le climat politique en Suisse quant aux autorisations données aux islamistes pour tenir des stands, la faiblesse de Berne face aux diktats de l’UE, ses tergiversations sur le vote contre l’immigration et cette diabolisation de l’UDC taxée d’extrême droite!
Mais où va la Suisse?!
Je suis une libérale de l’ancien Parti qui comptait des hommes à poigne. Aujourd’hui, je suis mes idées qui vont dans le sens de Kewin Grangier et Uli Windisch.
Peut être que ceux qui ont pillé la Grèce étaient des illettrés. Ils ne connaissaient que la phonétique Graisse et pensaient qu’ils était donc normal de s’enGraisser. En Suisse on a les mêmes. Un cours de géographie leur ferait du bien, afin qu’ils déménagent au plus tôt.
Oui, c’est exact…Tels sont les problèmes…et l’attitude gouvernementale suisse est inacceptable. La détermination du peuple est la seule réponse possible envers cette haute cour d’autruches.
D’accord avec vous, Monsieur, pour louer la capacité de « sursaut d’un peuple ».
Sauf que l’on peut se permettre de dire « Non », quand on ne doit rien à personne.
Or, si j’ai bien compris, ce sont les autres peuples qui sont sommés de passer à la caisse, pour éponger les dettes accumulées par ledit peuple grec épris de liberté.
Je serais peut-être plus enthousiaste, si ne s’ajoutait pas au rackett de nos gouvernants celui des filous grecs.
Nous sommes très vite pris au piège de nos propres idéaux, ainsi que vous le constatez dans le domaine de l’immigration touchant désormais la Suisse; et les requérants que vous évoquez auront tôt fait de vous répartir que vous applaudissez à l’esprit de liberté que manifestent les Grecs, alors même que vous leur contestez le droit de venir s’installer LIBREMENT — et massivement— dans votre pays.
Les associations (ou) et les partis qui les soutiennent , risquent de limiter l’impact des votations populaires où s’exprime encore l’esprit de liberté du peuple suisse.
Le spectacle affligeant que donnent l’Italie et la France, entre autres, devrait être un remède de cheval pour les décideurs helvétiques.
Excellent commentaire de Monsieur Windisch. La gifle infligée par le peuple tessinois à Bellinzona, au Conseil Fédéral in corpore, n’aura suscité qu’un haussement d’épaules de nos plus hautes autorités. C’est un sourire condescendant qu’aura adressé notre Présidente à ces peuplades, justes bonnes à vous offrir quelques jours de vacances pendant l’été. Ce qui est nettement moins drôle, c’est de voir et d’entendre quotidiennement les pitreries faciles de La Lega. Le ras le bol, la frustration et l’incompréhension du Sud de notre pays, engendrent des positions extrémistes. Danger… Les gentils autochtones, débonnaires et prompts à faire la fête, pourraient devenir des acharnés et finir par détester la Berne qui nous gouverne.