6 commentaires

  1. Posté par Claire le

    A quand la journée contre la connophobie?

  2. Posté par Jean-jacques le

    Les gros , on en parle régulièrement mais…
    A part quand ils sont « policiers » ou « gendarmes » chose vue pas plus tard qu’hier, ce ne peut pas poser de vrai problème.
    mais quand on est « un membre » des forces de l’ordre, être incapable de courrir ou être essoufflé après 6 pas relève de la provocation. Comment voulez-vous compter sur un militaire incapable de remplir sa mission.
    Avant il y avait les COVAPI avec des résultats éliminatoires… Mais aujourd’hui, sous des prétextes divers on va à l’encontre même de l’intérêt de la collectivité.

    Ceci dit, je pense que ce critère déjà pris en compte par les reseaux sociaux sera le bientôt par la Secu, les mutuelles, les banques, …

  3. Posté par Schwander Dominique le

    Quelle admirable sens des priorités et ignorance crasse de ce que signifie le terme phobie. D’avoir eu des relations sexuelles et une fille avec Hollande a vraiment traumatisée cette maire de Paris!

  4. Posté par Vautrin le

    Le vocable « grossophobie » n’existe pas dans notre langue. C’est un monstre de forgerie. Si l’on veut absolument utiliser (de manière, une fois de plus ridicule) le suffixe -phobe, il faudrait être cohérent, et trouver le formant grec pour « gros » (pouknos) ou pour « graisse », ce qui donnerait « stéatophobie ». Mais on ne voit pas pourquoi on serait effrayé par les gros -phobos, c’est la peur. Bon : encore une stupidité traduisant l’ignorance des bobos de l’entourage de Notre Drame de Paris.

  5. Posté par Le Taz le

    A quand une campagne contre l’hemoroidophobie? 😉

  6. Posté par butterworth le

    bravo tous contre la grossophobie militons pour l anorexie rejoignez L EGLISE DE L EUTHANASIE

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