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Alors je ne vais pas analyser le phénomène, mais plutôt me lancer dans quelques réflexions sur le monde des blogs et autres (comme vous l’avez compris, le blog n’est qu’une forme d’expression de tout cet univers qui tourne autour de la romance et on peut le généraliser par le terme de blogosphère).
« La dimension du chef a perdu de son relief, c’est le résultat d’une dissémination idéologique liée à ce qu’on a vécu dans les 30/40 dernières années, mais il ne faut pas oublier que c’est [aussi] lié à une relative trahison des élites. Dans la marine, on apprend que le capitaine est celui qui quitte le navire en dernier. Dans les entreprises en difficulté, ce n’est malheureusement pas le cas. Et dans les grandes entreprises, y compris celles qui sont passées par la sphère publique, non seulement le capitaine est responsable du naufrage, mais en plus il part le premier et, de tous ceux qui partent dans le canot de sauvetage, c’est le seul qui arrive dans le port le plus confortable!»
L’absence de projet collectif des élites
«Ce qui est inacceptable, premièrement c’est la reproduction sociale de ces élites au détriment de l’ascenseur social intra ou interentreprises et la deuxième chose, c’est l’absence de capacité à assumer les responsabilités et l’absence de projet collectif. Ce qui frappe, c’est que nos élites aujourd’hui ne sont plus liées à un projet collectif (…). Je vais prendre quelques exemples: vos auditeurs ont peut être regardé l’excellent documentaire [sur] la prise de contrôle par General Electric des activités énergie d’Alsthom. Vous avez là une trahison des élites qui est extraordinaire. Je ne vais pas remonter à l’affaire du Crédit lyonnais, je pourrais parler de l’affaire d’Areva. Vous avez là des dirigeants qui, indépendamment des erreurs qu’ils peuvent commettre, sont « sauvés ou reclassés », quels que soient les périls qui s’abattent sur les collaborateurs. Je comprends que du coup, on ait plus envie d’obéir à ces gens-là!»
Quelle magnifique illustration de nos zélites politiques…
Je ne sait pas où cet homme habite : « le quotidien de ces nouvelles tribus que sont les entreprises, sur ses nouveaux chefs que sont les managers, et sur ses nouveaux guerriers que sont les salariés ».
Que de paroles sans preuves.
Le salarié aujourd’hui n’hésite pas à changer de société et va où il est le mieux payé.