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METTRE UN PIED DANS BRUXELLES C’est voir son droit altéré.C’est inéluctable.
Bruxelles maîtrise l’art du « faux donnant, donnant ». Ceux qui ne le savent pas sont extraordinairement naïfs. Le fait d’entendre MR Jacques Attali, dire d’une manière jouissive : » nous avons oublié (volontairement) de créer les conditions qui permettaient à un état membre de sortir de l’UE. »
S’engager avec Bruxelles, évidemment c’est perdre une partie de son âme et pour bientôt pour nous tous la totalité de nos âmes, puisqu’elle cautionne ‘l’immigration-invasion » qu’il vaudrait mieux nommer maintenant le BRUXELLOREMPLACEMENT et qu’elle l’ordonne déjà : « pas d’immigration chez vous, pas d’aide structurelle ». Et comme disait SARKOZY, en voulant convaincre son auditoire sur le nouvel ordre mondial : « si ça n’avance pas nous prendrons des mesures plus contraignantes ». Comme l’invasion immigration est dans « le programme, notre soumission n’est pas « attendue », elle est exigée.
En attendant une guerre mondiale semble se préparer : leur bouée de sauvetage pour imposer tous leurs plans.
Les gens sont dans un tel état de sous information, que cela renforce l’adversaire.
Alors que si tout le monde se sentait concerné, il y a tant de stratégies non violentes à disposition. Mais pour cela il faut de la solidarité, de l’échange. Est-ce que « l’ISOLEMENT DE L’INDIVIDU EUROPEEN » (et non pas l’individualisme) va le perdre? On ne peut pas considérer l’individu européen comme farouchement individualiste. Les circonstances ont engendré, d’abord un individu isolé, un couple isolé, une famille isolée. C’est la perte brutale de nos repères à l’époque moderne et industrielle, qui nous ‘a menés sur cette voie celle « de l’individualisme ». Le savoir d’abord, le comprendre ensuite, nous permettrait de retisser les liens perdus, qui nous empêchent aujourd’hui de pouvoir faire face à une situation très menaçante.
Précision, Oskar Feysinger n’est plus vice-président de l’UDC et en Suisse, contrairement à la France, les titres ne se portent pas à vie.
A part cela le discours de M. Freysinger est du simple bon sens.
Le Peuple souverain suisse doit rester maître en la matière ! Soit les lois suisses doivent être préservées et conservées coûte que coûte !
Ce n’est pas Bruxelles qui viendra faire la loi en Suisse !
Il y en a MARRE de ces juges étrangers et de leurs immiscions dans NOS lois et coutumes !
En bon voisinage, chaque respecte l’autre … cela devient une dictature ! Insupportable et surtout anticonstitutionnel !
Excellent..! ,il faut absolument défendre l’indépendance et l’exercice de la démocratie Suisse …, Rappel historique, en 1815 Napoléon Buonaparte , Roi d’Italie , Empereur des Français et Médiateur de la Confédération du Rhin et Protecteur de la Confédération Helvétique ,n’a jamais imposé à la Confédération Helvétique ..une quelconque loi …qui aurait altéré son droit ….!