Ferenc Almássy : Orbán a montré que la crise migratoire n’est pas une fatalité

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Viktor Orbán, l’une des bêtes noires de Bruxelles, vient d’être réélu pour un troisième mandat consécutif à la tête de la Hongrie. Avec, de nouveau, la super-majorité des 2/3 pour son parti le Fidesz, ce qui lui donne le droit de modifier la Constitution seul.

Cette victoire, menée au terme d’une campagne très rude et d’une focalisation du débat public sur la thématique migratoire et sur les agents d’influence de la société civile (réseaux Soros), a des échos qui vont au-delà des frontières de la Hongrie. Depuis plusieurs années, Orbán est devenu un modèle pour des responsables politiques comme Matteo Salvini (Italie) ou le gouvernement autrichien, et constitue la locomotive politique du groupe de Visegrád qui regroupe la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie et la Hongrie.

Qui est Viktor Orbán ? Comment ce jeune démocrate libéral anti-communiste et proche de George Soros dans les années 1980 a-t-il basculé dans l’illibéralisme et la dénonciation des réseaux Soros ? Comment a-t-il construit sa victoire sans pâtir de l’usure du pouvoir ? Comment ce brillant stratège politique est-il parvenu à dompter ses opposants et les enfermer dans le camp des partisans de l’immigration ?

Pour décrypter ces événements en échappant aux caricatures des médias mainstream occidentaux, Ferenc Almássy – rédacteur en chef du Visegrád Post www.visegradpost.com – a accordé un long entretien à TV Libertés, sur les rives du Danube.

 

 

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